Selon la base de données de l’Oms, 48 % de la population mondiale adulte n’a jamais consommé d’alcool dans sa vie. La répartition des buveurs sur la planète est claire.
La géographie des consommateurs d’alcool est détaillée par Le Monde aujourd’hui : large prévalence en Russie et modération en Afrique, dans les pays arabes et du Sud-est asiatique. La consommation est en fonction du niveau de développement : plus le pays est développé, plus la consommation d’alcool y est forte et régulière, résume le document de l’Oms, tandis qu’un pays en voie de développement verra une consommation moindre en volume.
Le tchadien ingère 33,9 litres d’alcool pur tous les ans en moyenne, essentiellement de la bière qui représente 66,3% de la consommation. Ce qui est bien plus que l’allemand qui boit 14,7 litres par an dont 53,6% de la bière. La Gambie, 30,9 litres, le Mali, 29,3 litres, la Namibie, 27,7 litres, l’Inde 28,7 litres, devancent largement la Russie, 22,3 litres et les pays occidentaux. La France consomme beaucoup de vin, 56,4%, et totalise 12,9 litres d’alcool pur par an.
Les lituaniens, les polonais et les portugais sont les plus grands buveurs européens. L’Amérique consomme de la bière en masse, beaucoup moins de spiritueux, alors que la proportion est inversée dans le Pacifique. Et au Proche-Orient, la consommation de vin se rapproche de celle de l’Europe. L’Oms définit qu’un épisode d’alcoolisation forte démarre à partir de 60 grammes d’alcool pur, soit six verres standard. Elle rappelle que la consommation abusive d’alcool est à l’origine d’environ 3,3 millions de morts chaque année, ce qui représente l’équivalent de 5,9 % de la mortalité. Les femmes sont de plus en plus exposées aux risques sanitaires liés à l’alcool, même si ce risque n’est pas chiffré dans cette étude. Le pays qui verra, à l’avenir, la plus forte hausse de la consommation est la Chine : + 1,5 litre d’alcool pur par an et par tête d’ici à 2025, même si l’Europe restera la région la plus assoiffée de la planète.
La géographie des consommateurs d’alcool est détaillée par Le Monde aujourd’hui : large prévalence en Russie et modération en Afrique, dans les pays arabes et du Sud-est asiatique. La consommation est en fonction du niveau de développement : plus le pays est développé, plus la consommation d’alcool y est forte et régulière, résume le document de l’Oms, tandis qu’un pays en voie de développement verra une consommation moindre en volume.
Le tchadien ingère 33,9 litres d’alcool pur tous les ans en moyenne, essentiellement de la bière qui représente 66,3% de la consommation. Ce qui est bien plus que l’allemand qui boit 14,7 litres par an dont 53,6% de la bière. La Gambie, 30,9 litres, le Mali, 29,3 litres, la Namibie, 27,7 litres, l’Inde 28,7 litres, devancent largement la Russie, 22,3 litres et les pays occidentaux. La France consomme beaucoup de vin, 56,4%, et totalise 12,9 litres d’alcool pur par an.
Les lituaniens, les polonais et les portugais sont les plus grands buveurs européens. L’Amérique consomme de la bière en masse, beaucoup moins de spiritueux, alors que la proportion est inversée dans le Pacifique. Et au Proche-Orient, la consommation de vin se rapproche de celle de l’Europe. L’Oms définit qu’un épisode d’alcoolisation forte démarre à partir de 60 grammes d’alcool pur, soit six verres standard. Elle rappelle que la consommation abusive d’alcool est à l’origine d’environ 3,3 millions de morts chaque année, ce qui représente l’équivalent de 5,9 % de la mortalité. Les femmes sont de plus en plus exposées aux risques sanitaires liés à l’alcool, même si ce risque n’est pas chiffré dans cette étude. Le pays qui verra, à l’avenir, la plus forte hausse de la consommation est la Chine : + 1,5 litre d’alcool pur par an et par tête d’ici à 2025, même si l’Europe restera la région la plus assoiffée de la planète.