Affreux, odieux, cruel.... En tout cas, ce ne sont les qualificatifs qui manquent pour parler du crime commis dans la petite ville de N'douci. Un crime dont la victime est un homme âgé de 56 ans, marié et père de cinq enfants.
Il s'agit de Misso Yavo Honoré en service à l'Epp N'douci-Plateau 3. A en croire nos sources, il est un peu plus de minuit, dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 décembre 2014, lorsque deux solides gaillards, après avoir défoncé la porte, pénètrent dans le logis de l'enseignant, situé derrière les bureaux de la Poste Côte d'Ivoire. Et tout de suite, les bandits accèdent à la chambre du couple qui est ainsi brutalement tiré de sommeil.
Munis d'armes blanche, ils tiennent ce discours à la femme de Misso Yavo : « Mme, nous sommes venus pour le chao ( vieux père) et pour personne d'autre. Alors, taisez-vous regardez ce que nous sommes venus faire et c'est tout ! ». Sur ce, ils se ruent sur l'infortuné instituteur. Et avec une brutalité inouïe, ils lardent le pauvre homme de coups de couteau et de machette. Les coups, les uns aussi violents que les autres, s'abattent sur le malheureux qui, finalement, est tué.
On croit que les choses vont s'arrêter là. Que non. Usant de leur machette, très nouvelle et sans doute acquise le même jour, ils sectionnent les quatre membres de leur victime. Ils frappent le mort à la tête. Détachant les deux mâchoires. Après quoi, ils découpent en morceaux le reste du corps. Une vraie horreur. Une vraie boucherie. Du sang partout dans la pièce. Cela fait, les deux tueurs mettent tout sens dessus dessous dans la maison, qu'ils quittent ensuite sans même voler une seule aiguille. Laissant sur place, les armes ensanglantées de leur atroce besogne.
Il est près de 2h du matin. Informés, les éléments de la gendarmerie et de la police venus de Tiassalé, pour le constat d'usage, se déportent sur les lieux de l'ignominie. Et eux-mêmes restent sans voix devant l'horreur qu'ils avouent n'avoir jamais vue auparavant. Puis, tous les morceaux sanguinolents du corps de l'instituteur sont rassemblés et déposés à la morgue. Une enquête est en cours, pour retrouver les meurtriers. Ainsi, ils diront ce que l'enseignant leur a exactement fait, pour qu'ils le désossent de cette façon ignoble. En attendant, à N'douci, toutes sortes de commentaires alimentent les foyers.
Il s'agit de Misso Yavo Honoré en service à l'Epp N'douci-Plateau 3. A en croire nos sources, il est un peu plus de minuit, dans la nuit du vendredi 26 au samedi 27 décembre 2014, lorsque deux solides gaillards, après avoir défoncé la porte, pénètrent dans le logis de l'enseignant, situé derrière les bureaux de la Poste Côte d'Ivoire. Et tout de suite, les bandits accèdent à la chambre du couple qui est ainsi brutalement tiré de sommeil.
Munis d'armes blanche, ils tiennent ce discours à la femme de Misso Yavo : « Mme, nous sommes venus pour le chao ( vieux père) et pour personne d'autre. Alors, taisez-vous regardez ce que nous sommes venus faire et c'est tout ! ». Sur ce, ils se ruent sur l'infortuné instituteur. Et avec une brutalité inouïe, ils lardent le pauvre homme de coups de couteau et de machette. Les coups, les uns aussi violents que les autres, s'abattent sur le malheureux qui, finalement, est tué.
On croit que les choses vont s'arrêter là. Que non. Usant de leur machette, très nouvelle et sans doute acquise le même jour, ils sectionnent les quatre membres de leur victime. Ils frappent le mort à la tête. Détachant les deux mâchoires. Après quoi, ils découpent en morceaux le reste du corps. Une vraie horreur. Une vraie boucherie. Du sang partout dans la pièce. Cela fait, les deux tueurs mettent tout sens dessus dessous dans la maison, qu'ils quittent ensuite sans même voler une seule aiguille. Laissant sur place, les armes ensanglantées de leur atroce besogne.
Il est près de 2h du matin. Informés, les éléments de la gendarmerie et de la police venus de Tiassalé, pour le constat d'usage, se déportent sur les lieux de l'ignominie. Et eux-mêmes restent sans voix devant l'horreur qu'ils avouent n'avoir jamais vue auparavant. Puis, tous les morceaux sanguinolents du corps de l'instituteur sont rassemblés et déposés à la morgue. Une enquête est en cours, pour retrouver les meurtriers. Ainsi, ils diront ce que l'enseignant leur a exactement fait, pour qu'ils le désossent de cette façon ignoble. En attendant, à N'douci, toutes sortes de commentaires alimentent les foyers.
