Deux contrats de partage de production (CPP) ont été signés le mardi 16 décembre 2014 à Abidjan, dans les locaux de la Primature, entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la compagnie américaine Exxon Mobil. Les actes desdits contrats ont été paraphés par le Ministre ivoirien du Pétrole et de l’Energie, M. Adama TOUNGARA, et la Vice-présidente du groupe Exxon Mobil, Pamela Darwin, en présence du Premier Ministre ivoirien, Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, M. Daniel Kablan DUNCAN. Par cet acte Exxon Mobil explorera les blocs pétroliers CI-602 et CI-603 situés au large des côtes ivoiriennes à des profondeurs situées entre 3000 et 4000 mètres de tranche d’eau, d’une superficie respective de 3874 km² pour le premier et 5543 km² pour le second.
Les contrats ont une durée maximale d’exploitation de neuf ans pour chaque bloc avec la possibilité de proroger la période à 25 ans en cas de découverte commerciale. Pour le Ministre Adama TOUNGARA, avec ces deux contrats, la Côte d’Ivoire enregistre, depuis décembre 2011, 22 nouveaux contrats de partage de production signés. Et d’ajouter : « Le retour d’EXXON MOBIL (anciennement ESSO) en Côte d’Ivoire est un symbole de la confiance de la communauté Internationale en l’action du Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA et de son Gouvernement ». Quant au Premier Ministre Daniel Kablan DUNCAN, il s’est dit particulièrement heureux de prendre part à cette cérémonie qui constitue une des retombées concrètes de l’importante mission de prospection économique effectuée aux USA. Il a lancé un appel à l’ensemble des groupes pétroliers du monde et les exhortés à venir prendre part à la mise en valeur des blocs pétroliers en eaux ultra-profondes du bassin sédimentaire de la Côte d’Ivoire, qui constituent, selon lui, « un formidable gisement d’opportunités d’affaires ». Soulignons que les 14 et 15 octobre dernier, la Côte d’Ivoire a mené à Houston (Etats-Unis) une campagne de promotion de son bassin sédimentaire en vue d’attirer les majors pétroliers en Côte d’Ivoire pour l’exploration en eaux ultra-profondes. 32 sociétés pétrolières y avaient pris part parmi lesquelles, les majors pétroliers Exxon Mobil, Conoco Philips, Anadarko. L’ambition de la Côte d’Ivoire est d’accroître sa production totale de pétrole brut et de gaz naturel qui se situe à environ 60.000 barils équivalent pétrole par jour en 2014 dont 20.000 de pétrole brut, pour la porter graduellement à 100.000 puis à 200.000 barils d’ici 2020.
Les contrats ont une durée maximale d’exploitation de neuf ans pour chaque bloc avec la possibilité de proroger la période à 25 ans en cas de découverte commerciale. Pour le Ministre Adama TOUNGARA, avec ces deux contrats, la Côte d’Ivoire enregistre, depuis décembre 2011, 22 nouveaux contrats de partage de production signés. Et d’ajouter : « Le retour d’EXXON MOBIL (anciennement ESSO) en Côte d’Ivoire est un symbole de la confiance de la communauté Internationale en l’action du Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA et de son Gouvernement ». Quant au Premier Ministre Daniel Kablan DUNCAN, il s’est dit particulièrement heureux de prendre part à cette cérémonie qui constitue une des retombées concrètes de l’importante mission de prospection économique effectuée aux USA. Il a lancé un appel à l’ensemble des groupes pétroliers du monde et les exhortés à venir prendre part à la mise en valeur des blocs pétroliers en eaux ultra-profondes du bassin sédimentaire de la Côte d’Ivoire, qui constituent, selon lui, « un formidable gisement d’opportunités d’affaires ». Soulignons que les 14 et 15 octobre dernier, la Côte d’Ivoire a mené à Houston (Etats-Unis) une campagne de promotion de son bassin sédimentaire en vue d’attirer les majors pétroliers en Côte d’Ivoire pour l’exploration en eaux ultra-profondes. 32 sociétés pétrolières y avaient pris part parmi lesquelles, les majors pétroliers Exxon Mobil, Conoco Philips, Anadarko. L’ambition de la Côte d’Ivoire est d’accroître sa production totale de pétrole brut et de gaz naturel qui se situe à environ 60.000 barils équivalent pétrole par jour en 2014 dont 20.000 de pétrole brut, pour la porter graduellement à 100.000 puis à 200.000 barils d’ici 2020.
