Tempête dans un verre d’eau. Le bicéphalisme au sommet de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (Cnec) depuis quelques jours, a soulevé un vent de panique dans les rangs des Enseignants du Supérieur public en Côte d’Ivoire. A cet effet, le Secrétaire général dudit syndicat des Enseignants, le Pr Mamadou Ouattara, a animé une conférence de presse le mardi 06 janvier dernier, à l’université Nangui Abrogoua d’Abobo-Adjamé, en présence d’un parterre de syndiqués.
Ce, pour tabler sur la question et rassurer ses pairs, l’opinion nationale et internationale sur sa sérénité et son combat pour le bien-être du corps Enseignant. Au cours de cette rencontre, il a souligné que la suspension de la grève dans les universités et grandes écoles publiques est liée au paiement intégral des salaires conférés par le décret pris en 2007. Et ce, à l’initiative de la Cnec dont les syndiqués au niveau de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody ont entamé depuis hier, une grève d’une semaine renouvelable. Face à la presse, le leader de la Cnec a confié que les trois négociations tenues depuis le dépôt du préavis en novembre 2012, ont toutes échoué du fait des propositions inacceptables du gouvernement. Il a néanmoins demandé à ses syndiqués de garder leur sang-froid. Mais, estimant que le Prof Mamadou Ouattara ne joue pas franc jeu, ils (Ndlr: les syndiqués de Cocody) ont décidé de le débarquer au profit d’un autre président. Vu et conscient de cette ‘’rébellion’’ conspirée contre lui, le patron de la Cnec, légalement élu, selon ses dires, a marqué sa sérénité. «Mon mandat fini en juillet et non maintenant. Je reste serein face à mes détracteurs. Nos collègues de l’université Félix Houphouët Boigny ont d’autres motivations qui ne nous intéressent pas…J’entreprends actuellement des actions pour que nous allions à l’unité et non à la division. Il s’agit d’un intérêt commun.
Et nous devions le défendre. Nos camarades veulent utiliser la violence pour résoudre leurs problèmes alors que les Enseignants que nous sommes, sommes assez intelligents pour prêter le flanc. J’ai mes méthodes de travail, je ne copie pas sur les autres (…). Un comité ad hoc ne peut pas représenter la Cnec sur le plan national», a fait savoir le Prof Mamadou Ouattara, Secrétaire général de la Cnec.
Adama Coulibaly
Ce, pour tabler sur la question et rassurer ses pairs, l’opinion nationale et internationale sur sa sérénité et son combat pour le bien-être du corps Enseignant. Au cours de cette rencontre, il a souligné que la suspension de la grève dans les universités et grandes écoles publiques est liée au paiement intégral des salaires conférés par le décret pris en 2007. Et ce, à l’initiative de la Cnec dont les syndiqués au niveau de l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody ont entamé depuis hier, une grève d’une semaine renouvelable. Face à la presse, le leader de la Cnec a confié que les trois négociations tenues depuis le dépôt du préavis en novembre 2012, ont toutes échoué du fait des propositions inacceptables du gouvernement. Il a néanmoins demandé à ses syndiqués de garder leur sang-froid. Mais, estimant que le Prof Mamadou Ouattara ne joue pas franc jeu, ils (Ndlr: les syndiqués de Cocody) ont décidé de le débarquer au profit d’un autre président. Vu et conscient de cette ‘’rébellion’’ conspirée contre lui, le patron de la Cnec, légalement élu, selon ses dires, a marqué sa sérénité. «Mon mandat fini en juillet et non maintenant. Je reste serein face à mes détracteurs. Nos collègues de l’université Félix Houphouët Boigny ont d’autres motivations qui ne nous intéressent pas…J’entreprends actuellement des actions pour que nous allions à l’unité et non à la division. Il s’agit d’un intérêt commun.
Et nous devions le défendre. Nos camarades veulent utiliser la violence pour résoudre leurs problèmes alors que les Enseignants que nous sommes, sommes assez intelligents pour prêter le flanc. J’ai mes méthodes de travail, je ne copie pas sur les autres (…). Un comité ad hoc ne peut pas représenter la Cnec sur le plan national», a fait savoir le Prof Mamadou Ouattara, Secrétaire général de la Cnec.
Adama Coulibaly