- Candidats et électeurs menacés
La place des militaires c’est dans les casernes dit-on . Ils ne sortent que pour défendre l’intégrité du territoire lorsque la sécurité du pays est menacée.Or , aujourd’hui, le pays est en sécurité car la paix est définitivement revenue.L’économie a même repris et le pays est classé parmi les 10 meilleurs au classement mondial. Comme le clame haut et fort le régime en place .Alors que font encore les soldats sur les routes ivoiriennes, dans les brousses et même dans certains quartiers des villes et villages du pays ? A les voir , on se croirait encore en période de guerre .Puisqu’ils portent encore les armes et leurs tenues de combat.Certains s’offrent la mission de contrôler les pièces des véhicules et motos.Toujours arme au poing.De mémoire de citoyen , la Côte d’Ivoire n’a jamais vécu cela en période de paix véritable.Tout porte donc à croire que le pays est toujours sous l’effet de la crise ou à tout le moins le spectre de la guerre plane encore sur les Ivoiriens.Jusqu’à quand le pays va donc s’affranchir de cette hantise ? Depuis la mort du Président Felix Houphouët Boigny , la Côte d’Ivoire attend toujours un successeur à sa dimension afin de ramener la paix comme ce fut le cas lorsque le vieux était aux affaires .Car « la paix n’est pas un vain mot mais plutôt un comportement » comme il aimait à le dire. Mais la position de l’armée telle que l’on le constate à travers le pays est d’autant plus inquiétante que l’on s’achemine vers les échéances électorales d’octobre 2015. Des candidats aussi bien que des électeurs ont le droit de s’interroger sur l’opportunité d’une pareille disposition.Est-ce une intimidation ou une menace ? Les Ong nationales et internationales , la communauté nationale et internationale tout comme la Commission électorale indépendante (Cei) sont interpellées afin qu’une solution soit vite trouver à l’effet de donner des gages plus sûrs au processus électoral en cours. On attend donc de voir.
Gisèle Tienfô
La place des militaires c’est dans les casernes dit-on . Ils ne sortent que pour défendre l’intégrité du territoire lorsque la sécurité du pays est menacée.Or , aujourd’hui, le pays est en sécurité car la paix est définitivement revenue.L’économie a même repris et le pays est classé parmi les 10 meilleurs au classement mondial. Comme le clame haut et fort le régime en place .Alors que font encore les soldats sur les routes ivoiriennes, dans les brousses et même dans certains quartiers des villes et villages du pays ? A les voir , on se croirait encore en période de guerre .Puisqu’ils portent encore les armes et leurs tenues de combat.Certains s’offrent la mission de contrôler les pièces des véhicules et motos.Toujours arme au poing.De mémoire de citoyen , la Côte d’Ivoire n’a jamais vécu cela en période de paix véritable.Tout porte donc à croire que le pays est toujours sous l’effet de la crise ou à tout le moins le spectre de la guerre plane encore sur les Ivoiriens.Jusqu’à quand le pays va donc s’affranchir de cette hantise ? Depuis la mort du Président Felix Houphouët Boigny , la Côte d’Ivoire attend toujours un successeur à sa dimension afin de ramener la paix comme ce fut le cas lorsque le vieux était aux affaires .Car « la paix n’est pas un vain mot mais plutôt un comportement » comme il aimait à le dire. Mais la position de l’armée telle que l’on le constate à travers le pays est d’autant plus inquiétante que l’on s’achemine vers les échéances électorales d’octobre 2015. Des candidats aussi bien que des électeurs ont le droit de s’interroger sur l’opportunité d’une pareille disposition.Est-ce une intimidation ou une menace ? Les Ong nationales et internationales , la communauté nationale et internationale tout comme la Commission électorale indépendante (Cei) sont interpellées afin qu’une solution soit vite trouver à l’effet de donner des gages plus sûrs au processus électoral en cours. On attend donc de voir.
Gisèle Tienfô