Bouaké - Les résultats de la lutte contre le VIH/SIDA en rapport avec les Violences basées sur le genre (VBG) dans le cadre du projet CARA 3 exécuté dans les communes de Bouaké et de Katiola devraient être capitalisés, soulignent des acteurs engagés dans cette lutte.
Le directeur pays de l’ONG Care international, partenaire technique du projet CARA, M. Balla Moussa Sidibé, estime que "l’engagement à différents niveaux des leaders, des autorités et des communautés’’, mérite l’attention et doit être consolidé.
«Je crois que c’est quelque chose à vraiment capitaliser et sur laquelle on peut bâtir dans la durée», a-t-il déclaré samedi à Bouaké, lors d'un atelier-bilan, tout en se réjouissant des résultats obtenus.
Le projet a permis la formation de 330 pairs éducateurs formés pour conduire les activités de sensibilisation. Pour assurer la durabilité de leur activité, ils ont été instruits sur les méthodes alternatives pour avoir des ressources économiques autonomes.
En plus, l’ONG Réseau de la miséricorde en Côte d’Ivoire (REMCI), partenaire du projet, a bénéficié d’un renforcement de capacités. En termes d’impact, 131.000 personnes ont été touchées par la sensibilisation sur 116.000 prévues au départ.
«Que d’autres partenaires viennent en appui aux organisations comme le REMCI et autres, afin de nous aider à poursuivre tous les pans de notre programme d’activité», a souhaité le directeur exécutif du REMCI, M. Jakaria Koné, qui note l’existence de réels besoins de sensibilisation des localités non encore touchées.
Financée par le PEPFAR, la phase 2 du projet CARA a démarré en octobre 2010. Les actions sur le terrain ont débuté en 2011 avec l’ONG REMCI. Le projet a travaillé durant les quatre dernières années à Bouaké et Katiola. En partenariat avec les pairs éducateurs, les populations ont été sensibilisées à l’abstinence, à la fidélité, à la réduction du nombre de partenaires, au port correct du préservatif et à l’abandon de l’excision.
(AIP)
nbf/kkp/ask
Le directeur pays de l’ONG Care international, partenaire technique du projet CARA, M. Balla Moussa Sidibé, estime que "l’engagement à différents niveaux des leaders, des autorités et des communautés’’, mérite l’attention et doit être consolidé.
«Je crois que c’est quelque chose à vraiment capitaliser et sur laquelle on peut bâtir dans la durée», a-t-il déclaré samedi à Bouaké, lors d'un atelier-bilan, tout en se réjouissant des résultats obtenus.
Le projet a permis la formation de 330 pairs éducateurs formés pour conduire les activités de sensibilisation. Pour assurer la durabilité de leur activité, ils ont été instruits sur les méthodes alternatives pour avoir des ressources économiques autonomes.
En plus, l’ONG Réseau de la miséricorde en Côte d’Ivoire (REMCI), partenaire du projet, a bénéficié d’un renforcement de capacités. En termes d’impact, 131.000 personnes ont été touchées par la sensibilisation sur 116.000 prévues au départ.
«Que d’autres partenaires viennent en appui aux organisations comme le REMCI et autres, afin de nous aider à poursuivre tous les pans de notre programme d’activité», a souhaité le directeur exécutif du REMCI, M. Jakaria Koné, qui note l’existence de réels besoins de sensibilisation des localités non encore touchées.
Financée par le PEPFAR, la phase 2 du projet CARA a démarré en octobre 2010. Les actions sur le terrain ont débuté en 2011 avec l’ONG REMCI. Le projet a travaillé durant les quatre dernières années à Bouaké et Katiola. En partenariat avec les pairs éducateurs, les populations ont été sensibilisées à l’abstinence, à la fidélité, à la réduction du nombre de partenaires, au port correct du préservatif et à l’abandon de l’excision.
(AIP)
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