Abidjan – Douze personnes soupçonnées d'avoir fourni une aide logistique aux frères Kouachi et à Amedy Coulibaly, auteurs des attentats des 7 et 8 janvier à Paris, ont été interpellées dans la nuit de jeudi à vendredi, en région parisienne.
Selon la chaîne i-Télé, ces interpellations se sont déroulées en parallèle de perquisitions menées dans les communes de Montrouge, Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), Grigny, Fleury-Mérogis (Essonne) et Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Elles sont encore en cours.
Ces personnes, neuf hommes et trois femmes, vont être interrogées sur le "possible soutien logistique" qu'elles sont susceptibles d'avoir apporté aux auteurs des attentats survenus à Paris et à Montrouge entre le 7 et le 9 janvier, notamment des armes et des véhicules.
Selon une source policière, les enquêteurs ont effectué ces derniers jours de nombreuses filatures de plusieurs personnes repérées à partir d'éléments ADN et d'écoutes téléphoniques réalisées dans l'entourage présumé des frères Kouachi, Saïd et Chérif, auteurs des attaques contre Charlie Hebdo, et surtout d'Amedy Coulibaly, qui a tué une policière municipale à Montrouge et a été tué à l'issue d'une prise d'otages meurtrière dans un supermarché cacher de la porte de Vincennes, à Paris.
Les enquêteurs sont notamment sur la trace de la voiture d'Hayat Boumeddiene, compagne d'Amedy Coulibaly, visée par un mandat de recherche et qui a été repérée en Turquie le 2 janvier avant de passer en Syrie le 8. Ils avaient déjà effectué une série de perquisitions en région parisienne, notamment à Bondy (Seine-Saint-Denis), pour tenter de la retrouver.
Jeudi, les enquêteurs recherchaient toujours un ou plusieurs complices d'Amedy Coulibaly, dont les frères Mehdi et Mohamed Belhoucine. Ce même jour, le quotidien Ouest-France révélait par ailleurs que la cellule de Djamel Beghal, figure de l'islam radical fréquentée par les trois auteurs des attentats, avait été perquisitionnée mardi à la prison de Rennes (Ille-et-Vilaine), sans résultat.
(AIP)
cmas
Selon la chaîne i-Télé, ces interpellations se sont déroulées en parallèle de perquisitions menées dans les communes de Montrouge, Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), Grigny, Fleury-Mérogis (Essonne) et Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Elles sont encore en cours.
Ces personnes, neuf hommes et trois femmes, vont être interrogées sur le "possible soutien logistique" qu'elles sont susceptibles d'avoir apporté aux auteurs des attentats survenus à Paris et à Montrouge entre le 7 et le 9 janvier, notamment des armes et des véhicules.
Selon une source policière, les enquêteurs ont effectué ces derniers jours de nombreuses filatures de plusieurs personnes repérées à partir d'éléments ADN et d'écoutes téléphoniques réalisées dans l'entourage présumé des frères Kouachi, Saïd et Chérif, auteurs des attaques contre Charlie Hebdo, et surtout d'Amedy Coulibaly, qui a tué une policière municipale à Montrouge et a été tué à l'issue d'une prise d'otages meurtrière dans un supermarché cacher de la porte de Vincennes, à Paris.
Les enquêteurs sont notamment sur la trace de la voiture d'Hayat Boumeddiene, compagne d'Amedy Coulibaly, visée par un mandat de recherche et qui a été repérée en Turquie le 2 janvier avant de passer en Syrie le 8. Ils avaient déjà effectué une série de perquisitions en région parisienne, notamment à Bondy (Seine-Saint-Denis), pour tenter de la retrouver.
Jeudi, les enquêteurs recherchaient toujours un ou plusieurs complices d'Amedy Coulibaly, dont les frères Mehdi et Mohamed Belhoucine. Ce même jour, le quotidien Ouest-France révélait par ailleurs que la cellule de Djamel Beghal, figure de l'islam radical fréquentée par les trois auteurs des attentats, avait été perquisitionnée mardi à la prison de Rennes (Ille-et-Vilaine), sans résultat.
(AIP)
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