Gagnoa – De fortes détonations de pétards ont créé la psychose, jeudi nuit, au sein des populations vivant à Gagnoa, a constaté l'AIP.
Ces détonations ressemblaient à des tirs d’armes automatiques, ont expliqué des habitants qui avaient cru à une attaque armée. Ils déplorent la violation de la mesure gouvernementale interdisant l'usage des pétards.
La police a dû intervenir pour faire cesser ces détonations provenant de fumigènes lancés à un mariage.
L’achat et l’usage des pétards sont interdits par le gouvernement à travers un arrêté du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, afin de ne pas effrayer, à l’occasion des fêtes de fin d’année, les populations par les bruits assourdissants qu’ils font.
La dangerosité des fumigènes n’est pas à démontrer. A Abidjan-Treichville, une fillette âgée de huit ans s’est défigurée à la suite d’une explosion de pétard, le 11 décembre 2013, selon un quotidien ivoirien.
(AIP)
ja/kkp/ask
Ces détonations ressemblaient à des tirs d’armes automatiques, ont expliqué des habitants qui avaient cru à une attaque armée. Ils déplorent la violation de la mesure gouvernementale interdisant l'usage des pétards.
La police a dû intervenir pour faire cesser ces détonations provenant de fumigènes lancés à un mariage.
L’achat et l’usage des pétards sont interdits par le gouvernement à travers un arrêté du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, afin de ne pas effrayer, à l’occasion des fêtes de fin d’année, les populations par les bruits assourdissants qu’ils font.
La dangerosité des fumigènes n’est pas à démontrer. A Abidjan-Treichville, une fillette âgée de huit ans s’est défigurée à la suite d’une explosion de pétard, le 11 décembre 2013, selon un quotidien ivoirien.
(AIP)
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