Le sélectionneur des Eléphants, Hervé Renard, dans un entretien à l’Afp, samedi dernier, a estimé que son équipe a été beaucoup rajeunie et qu’il y a quelques variantes depuis les années précédentes. « Le groupe a été beaucoup rajeuni et si on se réfère aux qualifications, on ne peut pas faire partie des favoris. Mais quand un adversaire affronte la Côte d’Ivoire, il y a tout ce que cela comporte, trois Coupes du monde consécutives, des joueurs qui jouent dans les plus grands clubs. Mais il faut retrouver plus de cohésion collective pour pouvoir prétendre à quelque chose», précise-t-il.
Pour l’ex-coach du FC Sochaux, il faut éviter des amalgames en se fiant aux noms qui composent la sélection ivoirienne : «Wilfried, c’est un buteur mais il faut le mettre dans de bonnes conditions. Yaya, c’est le meilleur joueur africain, depuis 4 ans. Maintenant, il faut construire une équipe autour de lui capable d’avoir une bonne homogénéité et un équilibre. C’est le plus difficile en football. Il ne suffit pas d’associer des noms. Si on met Messi avec Ronaldo et Ibrahimovic, je ne sais pas si cela peut marcher». Faisant le point de son infirmerie, il assure qu’elle est vide, après le stage de préparation à Abu Dhabi du 5 au 16 janvier dernier. «On a passé un super stage, où les joueurs ont été très réceptifs et les entraînements de qualité. Donc, pour l’instant, tout est beau mais le plus important, c’est la compétition et il n’y a pas beaucoup de temps. Dès mardi, il va falloir être très concentré contre la Guinée», a-t-il fait savoir. Au terme de la préparation, la Côte d’Ivoire s’est imposée contre une modeste formation du Nigeria (1-0) avant de sombrer contre la Suède (2-0). Face à la Guinée, mardi, Yaya Touré et les siens sont attendus, pour leur premier match. En 2008, au Ghana, en phase de groupe de la Can, les Eléphants, avait atomisé le Syli national, sur le score sans appel de 5 buts à zéro. Mais beaucoup d’eau a coulé sous le pont. Et les Guinéens comptent créer la sensation dans ce derby ouest-africain.
ANNICIA S.
Pour l’ex-coach du FC Sochaux, il faut éviter des amalgames en se fiant aux noms qui composent la sélection ivoirienne : «Wilfried, c’est un buteur mais il faut le mettre dans de bonnes conditions. Yaya, c’est le meilleur joueur africain, depuis 4 ans. Maintenant, il faut construire une équipe autour de lui capable d’avoir une bonne homogénéité et un équilibre. C’est le plus difficile en football. Il ne suffit pas d’associer des noms. Si on met Messi avec Ronaldo et Ibrahimovic, je ne sais pas si cela peut marcher». Faisant le point de son infirmerie, il assure qu’elle est vide, après le stage de préparation à Abu Dhabi du 5 au 16 janvier dernier. «On a passé un super stage, où les joueurs ont été très réceptifs et les entraînements de qualité. Donc, pour l’instant, tout est beau mais le plus important, c’est la compétition et il n’y a pas beaucoup de temps. Dès mardi, il va falloir être très concentré contre la Guinée», a-t-il fait savoir. Au terme de la préparation, la Côte d’Ivoire s’est imposée contre une modeste formation du Nigeria (1-0) avant de sombrer contre la Suède (2-0). Face à la Guinée, mardi, Yaya Touré et les siens sont attendus, pour leur premier match. En 2008, au Ghana, en phase de groupe de la Can, les Eléphants, avait atomisé le Syli national, sur le score sans appel de 5 buts à zéro. Mais beaucoup d’eau a coulé sous le pont. Et les Guinéens comptent créer la sensation dans ce derby ouest-africain.
ANNICIA S.