Le ministère de la Famille, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, a donné le top départ de la campagne de lutte contre l’enlèvement des enfants, au cours d’une cérémonie, le 20 janvier, à l’hôtel du district d’Abidjan-Plateau.
Pour ce faire, le ministère de la Famille, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a créé une plateforme de collaboration avec le ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, le ministère auprès du Président de la République chargé de la Défense, le ministère de la Communication, le ministère de la Justice, des Droits de l’Hommes et des Libertés publiques, des ONG et des organisations de la société civile.
Il s’agit de sensibiliser et de mobiliser, à travers les médias et marches, toutes les forces vives de la nation en parcourant les marchés publics, les quartiers, etc. afin de « mettre hors d’état de nuire tous ceux qui s’adonnent à ces pratiques malveillantes et basses ».
Le ministre de la Famille, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée OULOTO, s’est insurgée contre « ces prédateurs dont le Gouvernement ne saurait tolérer les agissements ». Toutefois, a-t-elle a admis que « seul, l’Etat ne pourra faire face à la situation ».
D’où la nécessité « que nous nous mobilisions tous, parents, société civile, afin de faire barrage à ces malfaiteurs aux desseins lâches et sordides. Que nous faisions jouer la solidarité communautaire et ne pas attendre d’être victimes avant d’agir ».
Puis elle a insisté sur la vigilance et la contribution des parents dont elle n’a pas manqué de fustiger « la démission dans l’éducation de leurs enfants ».
Avant de promettre que « le Gouvernement ne laisserait jamais ces familles victimes de ces enlèvement livrées à leur propre sort ».
A ce jour, 18 cas d’enlèvement ont été signalés, à savoir 14 à l’intérieur du pays et quatre à Abidjan.
Une ligne téléphonique verte, le « 116 » a été ouverte pour recevoir toutes les dénonciations d’enlèvement ou d’abus contre les enfants.
Pour ce faire, le ministère de la Famille, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a créé une plateforme de collaboration avec le ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, le ministère auprès du Président de la République chargé de la Défense, le ministère de la Communication, le ministère de la Justice, des Droits de l’Hommes et des Libertés publiques, des ONG et des organisations de la société civile.
Il s’agit de sensibiliser et de mobiliser, à travers les médias et marches, toutes les forces vives de la nation en parcourant les marchés publics, les quartiers, etc. afin de « mettre hors d’état de nuire tous ceux qui s’adonnent à ces pratiques malveillantes et basses ».
Le ministre de la Famille, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée OULOTO, s’est insurgée contre « ces prédateurs dont le Gouvernement ne saurait tolérer les agissements ». Toutefois, a-t-elle a admis que « seul, l’Etat ne pourra faire face à la situation ».
D’où la nécessité « que nous nous mobilisions tous, parents, société civile, afin de faire barrage à ces malfaiteurs aux desseins lâches et sordides. Que nous faisions jouer la solidarité communautaire et ne pas attendre d’être victimes avant d’agir ».
Puis elle a insisté sur la vigilance et la contribution des parents dont elle n’a pas manqué de fustiger « la démission dans l’éducation de leurs enfants ».
Avant de promettre que « le Gouvernement ne laisserait jamais ces familles victimes de ces enlèvement livrées à leur propre sort ».
A ce jour, 18 cas d’enlèvement ont été signalés, à savoir 14 à l’intérieur du pays et quatre à Abidjan.
Une ligne téléphonique verte, le « 116 » a été ouverte pour recevoir toutes les dénonciations d’enlèvement ou d’abus contre les enfants.