Abidjan – Au total 2 680 emplois supplémentaires vont être consacrés à la lutte contre le terrorisme en France, a annoncé le Premier ministre, Manuel Valls, mercredi, au cours d'une conférence de presse à l'Elysée.
Parmi ces 2 680 emplois supplémentaires, 1 400 seront dédiés dans les trois prochaines années aux services de renseignement, a expliqué le chef du gouvernement qui a révélé que 1 300 individus impliqués dans des filières jihadistes et présents sur le sol français, doivent actuellement faire l'objet d'une surveillance renforcée.
Ce nombre de personnes susceptibles de "passer à l'acte" est en augmentation de 130% sur un an.
Manuel Valls a également formulé d'autres propositions, pour un montant global de 450 millions d'euros en trois ans.
Celles-ci concernent la création d’un nouveau fichier de renseignement recensant les personnes condamnées pour terrorisme ou "membre d’un groupe de combat", la lutte contre l’endoctrinement en prison, la surveillance d’internet, un meilleur équipement pour les forces de l’ordre, et la création d'une peine d'indignité nationale qui fera l'objet d'une "réflexion transpartisane", confiée par le Premier ministre au Parlement. Cette réflexion devra aboutir à des propositions d'ici à début mars.
cmas
Parmi ces 2 680 emplois supplémentaires, 1 400 seront dédiés dans les trois prochaines années aux services de renseignement, a expliqué le chef du gouvernement qui a révélé que 1 300 individus impliqués dans des filières jihadistes et présents sur le sol français, doivent actuellement faire l'objet d'une surveillance renforcée.
Ce nombre de personnes susceptibles de "passer à l'acte" est en augmentation de 130% sur un an.
Manuel Valls a également formulé d'autres propositions, pour un montant global de 450 millions d'euros en trois ans.
Celles-ci concernent la création d’un nouveau fichier de renseignement recensant les personnes condamnées pour terrorisme ou "membre d’un groupe de combat", la lutte contre l’endoctrinement en prison, la surveillance d’internet, un meilleur équipement pour les forces de l’ordre, et la création d'une peine d'indignité nationale qui fera l'objet d'une "réflexion transpartisane", confiée par le Premier ministre au Parlement. Cette réflexion devra aboutir à des propositions d'ici à début mars.
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