Man – Le Programme pour le renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire (ProJustice), a procédé vendredi, à la mise en place de l’Unité de contrôle de qualité et de gestion (UCQG) du Tribunal de première instance (TPI) de Man, l’une des juridiction-pilote du programme.
Présentant l’UCQG, l’expert manager à ProJustice, Dohoulou Jean-Pierre, a indiqué qu’il s’agit d’un outil d’organisation-évaluation, de soutien et de contrôle qualité qui s’inscrit dans le cadre de l’auto-évaluation de votre juridiction.
« C’est un outil de gestion interne et non un élément d’inspection de vos activités qu’il conviendrait d’institutionnaliser dans un cadre permanent de rencontre entre les chefs des différents services de votre Tribunal », a précisé l’expert, soulignant que l’UCQG, en tant qu’instrument de management, permettra de mieux apprécier le rendement des services et de transformer les relations professionnelles, actuellement cloisonnées voire sectorielles, en une collaboration dynamique et efficiente.
Pour le renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire, un Comité opérationnel pour la modernisation et l’amélioration de la Justice (CO-MAJ) a été mis en place, lequel a validé un ensemble d’actions et d’outils à mettre en pratique dans le cadre de la réforme dans les juridictions pilotes, dont l’Unité de contrôle de qualité et de gestion, rappelle-t-on.
Entre autres missions, l’UCQG a vocation à étudier les résultats donnés par les indicateurs de fluidité de la chaîne pénale, des délais et des performances mis en place avec l’appui de ProJustice, d’organiser le dialogue de gestion et de qualité autour de la recherche de performance et de contribuer au processus de visibilités des efforts des acteurs judiciaires comme l’adption d’une politique d’affichage, la rédaction d’une charte du justiciable.
L’UCQG a également pour mission d’étudier les meilleurs options de signalétiques pour la visibilité des services, le filtrage des justiciables et la réglementation de l’accès aux magistrats en dehors des audiences, de produire des rapports de gestion et de mutualiser les bonnes pratiques.
(AIP)
gem/cmas
Présentant l’UCQG, l’expert manager à ProJustice, Dohoulou Jean-Pierre, a indiqué qu’il s’agit d’un outil d’organisation-évaluation, de soutien et de contrôle qualité qui s’inscrit dans le cadre de l’auto-évaluation de votre juridiction.
« C’est un outil de gestion interne et non un élément d’inspection de vos activités qu’il conviendrait d’institutionnaliser dans un cadre permanent de rencontre entre les chefs des différents services de votre Tribunal », a précisé l’expert, soulignant que l’UCQG, en tant qu’instrument de management, permettra de mieux apprécier le rendement des services et de transformer les relations professionnelles, actuellement cloisonnées voire sectorielles, en une collaboration dynamique et efficiente.
Pour le renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire, un Comité opérationnel pour la modernisation et l’amélioration de la Justice (CO-MAJ) a été mis en place, lequel a validé un ensemble d’actions et d’outils à mettre en pratique dans le cadre de la réforme dans les juridictions pilotes, dont l’Unité de contrôle de qualité et de gestion, rappelle-t-on.
Entre autres missions, l’UCQG a vocation à étudier les résultats donnés par les indicateurs de fluidité de la chaîne pénale, des délais et des performances mis en place avec l’appui de ProJustice, d’organiser le dialogue de gestion et de qualité autour de la recherche de performance et de contribuer au processus de visibilités des efforts des acteurs judiciaires comme l’adption d’une politique d’affichage, la rédaction d’une charte du justiciable.
L’UCQG a également pour mission d’étudier les meilleurs options de signalétiques pour la visibilité des services, le filtrage des justiciables et la réglementation de l’accès aux magistrats en dehors des audiences, de produire des rapports de gestion et de mutualiser les bonnes pratiques.
(AIP)
gem/cmas