La Côte d’Ivoire et les Ivoiriens ont entamé cette année 2015 avec les traditionnels messages pleins de promesses, mais aussi avec des réalités alarmantes qui ne rassurent guère. Le climat social a poursuivi son érosion, la situation sécuritaire s’est davantage dégradée avec l’expansion de nouveaux fléaux, tandis que la situation politique s’envenime dangereusement dans un contexte préélectoral.
Vis-à-vis de ses devoirs régaliens, au premier rang desquels la sécurité des personnes et de leurs biens, le gouvernement « dit gagnant » du Président est plus que jamais dans les cordes, abandonnant les populations dans la psychose et le doute. En effet, alors que le fléau des coupeurs de route persiste en dépit des annonces cosmétiques des « sécurocrates », et que le phénomène des enfants microbes quoi qu’en baisse demeure une préoccupation, il ne se passe plus un jour sans que les médias ne nous fassent état d’enlèvements d’enfants. Puis ces annonces terrifiantes cèdent la place à de tristes et horribles spectacles de corps mutilés ou découpés. Face à ces Nième manifestations d’une l’insécurité quasi généralisée, Jeunesses Sans Frontières dénonce les réactions aussi tardives que timides du gouvernement. Nous ne cesserons jamais de le rappeler, le leadership nouveau auquel nous croyons doit être proactif. Celui-ci doit anticiper sur les évènements et non courir après eux. Nos dirigeants, abonnés aux commentaires, devraient plutôt s’illustrer dans le champ de l’action.
Par ailleurs, les grèves et mouvements d’humeur à répétition dans plusieurs corporations viennent confirmer si besoin l’était, un malaise social grandissant. Face à l’ampleur de cette donne, qui de surcroit touche entre autres des secteurs très sensibles, Jeunesses Sans Frontières met en garde le gouvernement contre l’accumulation des frustrations. Toute chose qui risque d’enclencher une bombe sociale aux conséquences imprévisibles. Proposer des solutions durables, ça devraient servir à ça un Ministre, et non narguer ses interlocuteurs par des promesses stériles ou le refus de dialogue.
Pour finir, Jeunesses Sans Frontières partage la douleur des familles frappées par cette insécurité intolérable tout en s’inclinant respectueusement devant la mémoire des victimes.
Vis-à-vis de ses devoirs régaliens, au premier rang desquels la sécurité des personnes et de leurs biens, le gouvernement « dit gagnant » du Président est plus que jamais dans les cordes, abandonnant les populations dans la psychose et le doute. En effet, alors que le fléau des coupeurs de route persiste en dépit des annonces cosmétiques des « sécurocrates », et que le phénomène des enfants microbes quoi qu’en baisse demeure une préoccupation, il ne se passe plus un jour sans que les médias ne nous fassent état d’enlèvements d’enfants. Puis ces annonces terrifiantes cèdent la place à de tristes et horribles spectacles de corps mutilés ou découpés. Face à ces Nième manifestations d’une l’insécurité quasi généralisée, Jeunesses Sans Frontières dénonce les réactions aussi tardives que timides du gouvernement. Nous ne cesserons jamais de le rappeler, le leadership nouveau auquel nous croyons doit être proactif. Celui-ci doit anticiper sur les évènements et non courir après eux. Nos dirigeants, abonnés aux commentaires, devraient plutôt s’illustrer dans le champ de l’action.
Par ailleurs, les grèves et mouvements d’humeur à répétition dans plusieurs corporations viennent confirmer si besoin l’était, un malaise social grandissant. Face à l’ampleur de cette donne, qui de surcroit touche entre autres des secteurs très sensibles, Jeunesses Sans Frontières met en garde le gouvernement contre l’accumulation des frustrations. Toute chose qui risque d’enclencher une bombe sociale aux conséquences imprévisibles. Proposer des solutions durables, ça devraient servir à ça un Ministre, et non narguer ses interlocuteurs par des promesses stériles ou le refus de dialogue.
Pour finir, Jeunesses Sans Frontières partage la douleur des familles frappées par cette insécurité intolérable tout en s’inclinant respectueusement devant la mémoire des victimes.