Agboville - Le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida et des structures partenaires, que sont Icap et Scms, en matière de formation des prestataires en gestion des stocks de médicaments pour patients du VIH ont marqué leur satisfaction pour la collaboration régionale, au sortir de l’atelier de validation de données sur le Sida, mercredi à Agboville.
« Nous sommes satisfaits, au vu de la symbiose avec les districts sanitaires », a fait savoir docteur Lobé Roger, responsable du bureau Icap pour les régions du Lôh-Djiboua, Abidjan II (Abobo est, Cocody et Bingerville) ainsi que de l’Agnéby-Tiassa et de la Mé.
L’accompagnement d’Icap consiste essentiellement à faire la formation des prestataires (médecins, infirmiers, sages-femmes) dans la mise en œuvre des activités du VIH, a expliqué docteur Lobé, insistant sur l’appui aux districts sanitaires dans les réunions de validations de données, par le biais de fournitures d’équipement de collecte de données.
Il a assuré que la situation sur le terrain s’est beaucoup améliorée, avec l’appui en matériel qui aura permis aux prestataires d’avoir un meilleur engagement dans la prise en charge des patients vivant avec le VIH, et de faciliter le déplacement et l’intégration des patients, pour les soins.
Le responsable d’Icap a encouragé les patients à approcher les prestataires, à être régulier dans les rendez-vous et à poser les préoccupations, afin que le partenaire soit efficace dans l’accompagnement des districts sanitaires.
Le second partenaire, Scms, a pour mission d’acheter les médicaments de prise en charge du VIH et de les mettre à la disposition de la pharmacie de la santé publique qui est habilitée à les distribuer dans les différents services et centres de santé, a renchéri docteur Koudougnon Cyril, responsable du bureau régional Scms.
Il a indiqué que son projet consiste en la décentralisation de la gestion des stocks afin d’aider les gestionnaires à avoir de bonnes pratiques, de sorte à maintenir les médicaments en quantité suffisante, pour tous les patients.
« Nous travaillons à ce que le médicament soit le plus proche possible du patient », a insisté Dr Koudougnon, saluant les efforts de l'Etat pour éviter les ruptures, vu que le nombre de patients par aires sanitaires et centres de santé n’est jamais fixe.
« Nous sommes vraiment satisfaits de la collaboration avec Icap et Scms », a confirmé jeudi, depuis ses bureaux d’Agboville, Dr Konan Ahou, directeur régional de la Santé pour l’Agnéby-Tiassa et la Mé, qui avait dirigé l’atelier d’Adzopé traitant du même sujet et concernant l’Agénby-Tiassa et la Mé.
Cette rencontre a pris fin mercredi, après trois jours de travaux qui ont enregistré la participation de 47 experts nationaux en matière de santé.
(AIP)
dd/kkp/tm
« Nous sommes satisfaits, au vu de la symbiose avec les districts sanitaires », a fait savoir docteur Lobé Roger, responsable du bureau Icap pour les régions du Lôh-Djiboua, Abidjan II (Abobo est, Cocody et Bingerville) ainsi que de l’Agnéby-Tiassa et de la Mé.
L’accompagnement d’Icap consiste essentiellement à faire la formation des prestataires (médecins, infirmiers, sages-femmes) dans la mise en œuvre des activités du VIH, a expliqué docteur Lobé, insistant sur l’appui aux districts sanitaires dans les réunions de validations de données, par le biais de fournitures d’équipement de collecte de données.
Il a assuré que la situation sur le terrain s’est beaucoup améliorée, avec l’appui en matériel qui aura permis aux prestataires d’avoir un meilleur engagement dans la prise en charge des patients vivant avec le VIH, et de faciliter le déplacement et l’intégration des patients, pour les soins.
Le responsable d’Icap a encouragé les patients à approcher les prestataires, à être régulier dans les rendez-vous et à poser les préoccupations, afin que le partenaire soit efficace dans l’accompagnement des districts sanitaires.
Le second partenaire, Scms, a pour mission d’acheter les médicaments de prise en charge du VIH et de les mettre à la disposition de la pharmacie de la santé publique qui est habilitée à les distribuer dans les différents services et centres de santé, a renchéri docteur Koudougnon Cyril, responsable du bureau régional Scms.
Il a indiqué que son projet consiste en la décentralisation de la gestion des stocks afin d’aider les gestionnaires à avoir de bonnes pratiques, de sorte à maintenir les médicaments en quantité suffisante, pour tous les patients.
« Nous travaillons à ce que le médicament soit le plus proche possible du patient », a insisté Dr Koudougnon, saluant les efforts de l'Etat pour éviter les ruptures, vu que le nombre de patients par aires sanitaires et centres de santé n’est jamais fixe.
« Nous sommes vraiment satisfaits de la collaboration avec Icap et Scms », a confirmé jeudi, depuis ses bureaux d’Agboville, Dr Konan Ahou, directeur régional de la Santé pour l’Agnéby-Tiassa et la Mé, qui avait dirigé l’atelier d’Adzopé traitant du même sujet et concernant l’Agénby-Tiassa et la Mé.
Cette rencontre a pris fin mercredi, après trois jours de travaux qui ont enregistré la participation de 47 experts nationaux en matière de santé.
(AIP)
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