Plusieurs réalisations ont été faites ces dernières années en Côte d’Ivoire pour amorcer le développement et atteindre l’émergence à l’horizon 2020. Parmi Ces réalisations, les routes, les autoroutes, les ponts occupent une place de choix. Et dans ce secteur, «le coût global des travaux s’élève à ce jour à 722 milliards de FCFA». L’information a été livrée jeudi par le premier ministre Duncan à l’occasion d’une conférence qui s’inscrit dans le cadre d’une rencontre périodique avec la presse et le secteur privé.
Le pont Henri Konan Bédié dont l’inauguration a eu lieu le 16 décembre dernier permet de réduire les problèmes d’embouteillage à Abidjan. Aux dires du premier ministre, l’ouvrage enregistre un trafic de «32 à 35 mille» véhicules par jour. Le trafic, a-t-il dit, connait une « montée en charge d’environ 50% ».
L’ouvrage, faut-il le rappeler, avait enregistré un trafic de plus de 50 mille engins le 21 décembre 2014, jour de sa livraison au trafic. La traversée était alors gratuite jusqu’au 2 janvier 2015. Les prévisions les plus optimistes misent sur un flux de 100 mille par jour en vue rentabiliser l’investissement de plus de 150 milliards.
En plus des investissements dans le domaine des routes, d’autres projets de développement ont été mis en œuvre. Le premier ministre cite l’exemple des hôpitaux, la construction de classes avec le recrutement d’enseignants, des ouvrages pour l’adduction en eau potable à Abidjan et à l’intérieur du pays. A cela s’ajoutent, la réhabilitation des universités, l’augmentation de la production de l’électricité qui est passée de 1391 mégawatts en 2011 à 1632 mégawatts en 2014. Un effort qui selon M. Kablan Duncan a permis de couvrir «803 localités».
Kablan Duncan estime que les investissements ont été possibles grâce aux efforts faits du gouvernement dans divers secteurs. La politique gouvernementale a permis un indice de sécurité qui est passé de «3,8% en 2012 à 1,18 en décembre 2014».
Quant aux mesures dans le sens de la réconciliation, elles permettent un climat social apaisé et une «décrispation de la vie politique » traduits par l’entrée de l’opposition à la CEI. A cet effet, le chef du gouvernement relève que la «destination Côte d’Ivoire» est désormais «attractive» avec l’installation et le retour de certaines institutions et organisations internationale dont la BAD, Microsoft, UNESCO.
La Côte d’Ivoire ambitionne de relever le taux de transformation des produits de base dont celui de la noix de cajou qui passera de «5,2% à ce jour à 35% en 2016». L’objectif est d’améliorer les revenus des populations et leur permettre de jouir des flux de la croissance. Pour y parvenir, un Conseil national de lutte contre la vie chère a été créé.
Edouard Koudou
Le pont Henri Konan Bédié dont l’inauguration a eu lieu le 16 décembre dernier permet de réduire les problèmes d’embouteillage à Abidjan. Aux dires du premier ministre, l’ouvrage enregistre un trafic de «32 à 35 mille» véhicules par jour. Le trafic, a-t-il dit, connait une « montée en charge d’environ 50% ».
L’ouvrage, faut-il le rappeler, avait enregistré un trafic de plus de 50 mille engins le 21 décembre 2014, jour de sa livraison au trafic. La traversée était alors gratuite jusqu’au 2 janvier 2015. Les prévisions les plus optimistes misent sur un flux de 100 mille par jour en vue rentabiliser l’investissement de plus de 150 milliards.
En plus des investissements dans le domaine des routes, d’autres projets de développement ont été mis en œuvre. Le premier ministre cite l’exemple des hôpitaux, la construction de classes avec le recrutement d’enseignants, des ouvrages pour l’adduction en eau potable à Abidjan et à l’intérieur du pays. A cela s’ajoutent, la réhabilitation des universités, l’augmentation de la production de l’électricité qui est passée de 1391 mégawatts en 2011 à 1632 mégawatts en 2014. Un effort qui selon M. Kablan Duncan a permis de couvrir «803 localités».
Kablan Duncan estime que les investissements ont été possibles grâce aux efforts faits du gouvernement dans divers secteurs. La politique gouvernementale a permis un indice de sécurité qui est passé de «3,8% en 2012 à 1,18 en décembre 2014».
Quant aux mesures dans le sens de la réconciliation, elles permettent un climat social apaisé et une «décrispation de la vie politique » traduits par l’entrée de l’opposition à la CEI. A cet effet, le chef du gouvernement relève que la «destination Côte d’Ivoire» est désormais «attractive» avec l’installation et le retour de certaines institutions et organisations internationale dont la BAD, Microsoft, UNESCO.
La Côte d’Ivoire ambitionne de relever le taux de transformation des produits de base dont celui de la noix de cajou qui passera de «5,2% à ce jour à 35% en 2016». L’objectif est d’améliorer les revenus des populations et leur permettre de jouir des flux de la croissance. Pour y parvenir, un Conseil national de lutte contre la vie chère a été créé.
Edouard Koudou
