Le groupe scolaire de Touro, dans le département de Katiola, comprend deux écoles aujourd’hui malades de ses infrastructures qui ont besoin d’un nouveau souffle, a constaté l’AIP, lors d’une visite guidée sur les lieux.
Touro est un petit village situé à 14 km de Katiola, sur la route de Bouaké. Il y existe un groupe scolaire de deux écoles dont la première date de 1959.
Aujourd’hui, ses installations sont devenues vétustes et ont besoin d’être réhabilitées. S’agissant de la deuxième, elle ne dispose pas de bâtiments en matériaux finis. Un poulailler sert depuis deux ans de salles de classes avec deux autres hangars couverts de plastiques.
Concernant les niveaux CE2, CM1 et CM2, ils ont été transférés dans la première école où un jumelage avec les écoliers des mêmes niveaux a été scellé.
Les six maîtres de ces trois niveaux travaillent de façon alternative, a précisé le directeur de l’école 1, Touré Jude, qui a servi de guide.
Aux dires de Mamolo Koffi Mathieu, l’un des maîtres de CM2 dans les classes jumelées, ils se partagent les quatre jours de la semaine, soit deux par enseignant. A côté des problèmes déjà évoqués, il y a la question des tables-bancs devenus rares dans l’établissement si bien que les apprenants s’asseyent à trois.
A côté de ses problèmes, il y a aussi le manque de logements pour les enseignants avec des installations électriques non fonctionnelles. Les instituteurs se trouvent dans l’obligation de partager à deux ou à trois le même bâtiment, sans oublier le problème d’eau dû au manque de forage dans l’école.
Pour cette raison, les enseignants se trouvent dans l’obligation de libérer un peu tôt les élèves afin que ceux-ci les aident à la corvée d’eau.
Les directeurs des deux écoles, les enseignants rencontrés sur les lieux ainsi que les responsables du comité de gestion (COGES) ont tous souhaité des aides de toutes les bonnes volontés afin que le groupe scolaire de Touro offre un cadre propice aux études.
dg/fmo/cmas
Touro est un petit village situé à 14 km de Katiola, sur la route de Bouaké. Il y existe un groupe scolaire de deux écoles dont la première date de 1959.
Aujourd’hui, ses installations sont devenues vétustes et ont besoin d’être réhabilitées. S’agissant de la deuxième, elle ne dispose pas de bâtiments en matériaux finis. Un poulailler sert depuis deux ans de salles de classes avec deux autres hangars couverts de plastiques.
Concernant les niveaux CE2, CM1 et CM2, ils ont été transférés dans la première école où un jumelage avec les écoliers des mêmes niveaux a été scellé.
Les six maîtres de ces trois niveaux travaillent de façon alternative, a précisé le directeur de l’école 1, Touré Jude, qui a servi de guide.
Aux dires de Mamolo Koffi Mathieu, l’un des maîtres de CM2 dans les classes jumelées, ils se partagent les quatre jours de la semaine, soit deux par enseignant. A côté des problèmes déjà évoqués, il y a la question des tables-bancs devenus rares dans l’établissement si bien que les apprenants s’asseyent à trois.
A côté de ses problèmes, il y a aussi le manque de logements pour les enseignants avec des installations électriques non fonctionnelles. Les instituteurs se trouvent dans l’obligation de partager à deux ou à trois le même bâtiment, sans oublier le problème d’eau dû au manque de forage dans l’école.
Pour cette raison, les enseignants se trouvent dans l’obligation de libérer un peu tôt les élèves afin que ceux-ci les aident à la corvée d’eau.
Les directeurs des deux écoles, les enseignants rencontrés sur les lieux ainsi que les responsables du comité de gestion (COGES) ont tous souhaité des aides de toutes les bonnes volontés afin que le groupe scolaire de Touro offre un cadre propice aux études.
dg/fmo/cmas