Les deux élèves du lycée moderne Paul Akoto Yao de Sakassou, N’Guessan Mardochée Angélique et Kouakou Yao Béranger, déférés devant le parquet du tribunal de Bouaké pour diffamation à l’encontre d’un éducateur ont été relaxés mardi, pour délit non constitué, a annoncé le préfet du département, Kouakou Wiha Ange Tchicaya.
Lors d’une réunion vendredi avec les chefs de communauté sur le problème d’enlèvement d’enfants, M. Kouakou Wiha a exhorté les leaders d’opinion à une sensibilisation de leurs enfants sur le téléphone portable qui ne doit pas être utilisé comme un instrument de délation.
« Parlez à vos enfants et conseillez-les à bien utiliser leurs téléphones portables. Ils ne doivent pas en faire un outil de délation ou de règlement de compte », a prévenu le préfet, révélant avoir subi de « nombreuses et diverses pressions » de la part de certains cadres de la localité.
C’est le 26 janvier que les élèves Mardochée et Béranger avaient été interpellés et déférés à Bouaké pour s’être envoyés des SMS accusant le sieur Sié Kambou, éducateur au lycée moderne, d’avoir abusé sexuellement d’une élève du même établissement.
Le proviseur Sibi Moustapha a été convoqué au cabinet du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique pour être entendu sur cette affaire, a-t-on appris.
tni/fmo/kkp/tm
Lors d’une réunion vendredi avec les chefs de communauté sur le problème d’enlèvement d’enfants, M. Kouakou Wiha a exhorté les leaders d’opinion à une sensibilisation de leurs enfants sur le téléphone portable qui ne doit pas être utilisé comme un instrument de délation.
« Parlez à vos enfants et conseillez-les à bien utiliser leurs téléphones portables. Ils ne doivent pas en faire un outil de délation ou de règlement de compte », a prévenu le préfet, révélant avoir subi de « nombreuses et diverses pressions » de la part de certains cadres de la localité.
C’est le 26 janvier que les élèves Mardochée et Béranger avaient été interpellés et déférés à Bouaké pour s’être envoyés des SMS accusant le sieur Sié Kambou, éducateur au lycée moderne, d’avoir abusé sexuellement d’une élève du même établissement.
Le proviseur Sibi Moustapha a été convoqué au cabinet du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique pour être entendu sur cette affaire, a-t-on appris.
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