Un millier d'interpellations, des cybercafés fermés à partir de 21 heures, cinq numéros de téléphones verts mis en place et 1 500 hommes supplémentaires disposés aux abords des écoles ou près des zones jugées à risques… Le gouvernement ivoirien semble vouloir se donner les moyens de lutter contre un phénomène de rapts et de meurtres d'enfants qui se développe depuis quelques mois en Côte d’Ivoire. Mais ce qui est moins facile à endiguer, c'est le phénomène de psychose qui saisit certains parents d'élèves.
Le gouvernement ivoirien se bat désormais sur deux fronts : la chasse aux kidnappeurs et meurtriers d'enfants d'une part et d'autre part la lutte contre la rumeur et la psychose qui gagnent certains Ivoiriens. Depuis quelques jours en Côte d’Ivoire, on... suite de l'article sur RFI
Le gouvernement ivoirien se bat désormais sur deux fronts : la chasse aux kidnappeurs et meurtriers d'enfants d'une part et d'autre part la lutte contre la rumeur et la psychose qui gagnent certains Ivoiriens. Depuis quelques jours en Côte d’Ivoire, on... suite de l'article sur RFI