Au total, huit pays africains francophones réfléchissent depuis ce mardi matin sur la qualité de la formation et la régulation de la profession de sage-femme, lors d’un atelier qui s'est ouvert en présence du directeur de cabinet adjoint du ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, Douhou Pierre, à l’hôtel du Golf, à Abidjan.
Ces pays, à savoir la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, la Mauritanie, la République démocratique du Congo, le Burkina Faso, le Togo et le Tchad, entendent à travers ce séminaire qui va se tenir sur trois jours déterminer les défis et les solutions idoines et situer la formation maïeutique dans ces Etats.
Ce sera aussi l’occasion pour les experts en santé sexuelle, reproductive, maternelle et du nouveau-né de faire des recommandations à l’endroit des décideurs publics.
"Si des progrès tangibles ont été enregistrés dans de nombreux pays, il faut reconnaître que beaucoup reste encore à faire pour l’amélioration continue de la profession de sage-femme", a admis M. Douhou.
Aussi, a-t-il reconnu que tous sont interpellés pour réduire de façon drastique les taux de morbidité et de mortalité mère-enfant qui, selon lui, demeurent encore élevé dans ces pays, notamment en Côte d’Ivoire avec 614 décès pour 100 000 naissances vivantes.
Le représentant-résident du Fonds des Nations unies pour la population, André Mayouya, a rassuré les participants en réaffirmant l’engagement de sa structure à accompagner les pays africains dans la réduction de la mortalité maternelle et néonatale.
Cette situation des pays africains francophones, a-t-il affirmé, est liée à une insuffisance de la disponibilité, de l’accessibilité et de la qualité des services de santé.
M. Mayouya qui s’est réjoui de la mobilisation des partenaires, notamment l’UNFPA, l’UNICEF et l’OMS autour des Etats, a rappelé qu’il "est plus que jamais nécessaire de renforcer les soins de santé avec du personnel qualifié".
Ce séminaire qui a pour thème "La qualité de la formation et de la régulation de la profession de sage-femme : progrès réalisés dans les pays francophones" prend donc fin jeudi.
ik/kkp/kam
Ces pays, à savoir la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, la Mauritanie, la République démocratique du Congo, le Burkina Faso, le Togo et le Tchad, entendent à travers ce séminaire qui va se tenir sur trois jours déterminer les défis et les solutions idoines et situer la formation maïeutique dans ces Etats.
Ce sera aussi l’occasion pour les experts en santé sexuelle, reproductive, maternelle et du nouveau-né de faire des recommandations à l’endroit des décideurs publics.
"Si des progrès tangibles ont été enregistrés dans de nombreux pays, il faut reconnaître que beaucoup reste encore à faire pour l’amélioration continue de la profession de sage-femme", a admis M. Douhou.
Aussi, a-t-il reconnu que tous sont interpellés pour réduire de façon drastique les taux de morbidité et de mortalité mère-enfant qui, selon lui, demeurent encore élevé dans ces pays, notamment en Côte d’Ivoire avec 614 décès pour 100 000 naissances vivantes.
Le représentant-résident du Fonds des Nations unies pour la population, André Mayouya, a rassuré les participants en réaffirmant l’engagement de sa structure à accompagner les pays africains dans la réduction de la mortalité maternelle et néonatale.
Cette situation des pays africains francophones, a-t-il affirmé, est liée à une insuffisance de la disponibilité, de l’accessibilité et de la qualité des services de santé.
M. Mayouya qui s’est réjoui de la mobilisation des partenaires, notamment l’UNFPA, l’UNICEF et l’OMS autour des Etats, a rappelé qu’il "est plus que jamais nécessaire de renforcer les soins de santé avec du personnel qualifié".
Ce séminaire qui a pour thème "La qualité de la formation et de la régulation de la profession de sage-femme : progrès réalisés dans les pays francophones" prend donc fin jeudi.
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