M'Bahiakro - Cinq malades sur 15 souffrant de la lèpre dans le district sanitaire de M'Bahiakro (Centre)ont été traités et guéris en 2014, fait savoir ce district.
Les dix autres sont encore en traitement, a-t-on indiqué à l'occasion de la 62e journée internationale de la lèpre, célébrée dans la cour de l'hôpital général de M'Bahiakro.
"L'image de la lèpre doit être modifiée, car le fait qu'elle soit vue comme une maladie de malédiction ne contribue pas à la lutte pour son éradication", a dit le représentant du directeur départemental de la santé, Stanislas Sié Essis, lui même contrôleur lèpre du district sanitaire.
Il a invité les populations au dépistage rapide dès l'apparition de tâche sur la peau, affirmant, dans son exposé liminaire qu'il a fait sur cette maladie invalidante, qu'aucun autre traitement n'est susceptible de la guérir en dehors du traitement médical.
Le sous-préfet de Bonguéra, Serge Kouamé Ben Yéboua, représentant le préfet du département a, lui a emboîté le pas, encourageant également au dépistage précoce. "Grâce à vos efforts, les parents sont traités, guéris et contribuent à la richesse nationale", a-t-il dit au responsable de la santé.
Fixée au 25 janvier par l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’édition 2015 de la célébration de la journée mondiale de la lèpre a été décalée d’une semaine dans le district sanitaire de M’Bahiakro.
(AIP)
djmz/fmo/ask
Les dix autres sont encore en traitement, a-t-on indiqué à l'occasion de la 62e journée internationale de la lèpre, célébrée dans la cour de l'hôpital général de M'Bahiakro.
"L'image de la lèpre doit être modifiée, car le fait qu'elle soit vue comme une maladie de malédiction ne contribue pas à la lutte pour son éradication", a dit le représentant du directeur départemental de la santé, Stanislas Sié Essis, lui même contrôleur lèpre du district sanitaire.
Il a invité les populations au dépistage rapide dès l'apparition de tâche sur la peau, affirmant, dans son exposé liminaire qu'il a fait sur cette maladie invalidante, qu'aucun autre traitement n'est susceptible de la guérir en dehors du traitement médical.
Le sous-préfet de Bonguéra, Serge Kouamé Ben Yéboua, représentant le préfet du département a, lui a emboîté le pas, encourageant également au dépistage précoce. "Grâce à vos efforts, les parents sont traités, guéris et contribuent à la richesse nationale", a-t-il dit au responsable de la santé.
Fixée au 25 janvier par l’organisation mondiale de la santé (OMS), l’édition 2015 de la célébration de la journée mondiale de la lèpre a été décalée d’une semaine dans le district sanitaire de M’Bahiakro.
(AIP)
djmz/fmo/ask
