La ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a appelé mardi à Abidjan, les groupements de femmes politiques et apolitiques, les guides religieux, les chefs traditionnels à l’entraide pour lutter contre le phénomène d’enlèvement d’enfants qui défraie l'actualité en Côte d’Ivoire.
"J’ai besoin de vous chères sœurs des partis politiques, des confessions religieuses. J’ai besoin de vous chefs coutumiers, chefs religieux. Je vous sollicite pour qu’on s’entraide à sauver notre pays du phénomène d’enlèvement d’enfants qui crée la psychose", a lancé Anne Ouloto, affirmant que cette solidarité aidera le gouvernement qui compte prendre ses responsabilités pour trouver des solutions idoines au phénomène.
Elle a demandé aux guides religieux, chefs coutumiers, groupes de femmes à sensibiliser les familles, afin qu'elles soient vigilantes dans la surveillance de leurs enfants mais aussi à veiller à transmettre à leurs progénitures, des astuces d’autodéfense en ne se laissant pas appâter par des inconnus, ainsi que la transmission des valeurs telles la crainte de Dieu, l’amour travail, le respect de la vie humaine(…).
Anne Ouloto invite les familles au calme et à la sérénité, face aux rumeurs et SMS alarmants, et à faire confiance au gouvernement, afin de trouver des solutions durables à ce fléau.Elle a rappelé que depuis quelques mois 25 cas de rapts d’enfants ont été signalés dont quatre ont été mutilés du fait de "brouteurs" (arnaqueurs sur la toile) et de personnes malveillantes en quête d’enrichissement.
Le gouvernement a déployé 1500 agents des forces de sécurité, dont 1000 policiers, 300 gendarmes et 200 militaires autour des plans d’eau, des cybercafés, des écoles et d’autres points stratégiques, afin de mettre la main sur les ravisseurs d’enfants. Des agents des renseignements généraux sont aussi mis à contribution pour démanteler les réseaux de criminels, rappelle-t-on.
Des numéros verts, le 116, 110, 111,145 et 170 sont par ailleurs mis à la disposition des familles pour signaler les cas d’enlèvements ou cas suspects.
amak/ask
"J’ai besoin de vous chères sœurs des partis politiques, des confessions religieuses. J’ai besoin de vous chefs coutumiers, chefs religieux. Je vous sollicite pour qu’on s’entraide à sauver notre pays du phénomène d’enlèvement d’enfants qui crée la psychose", a lancé Anne Ouloto, affirmant que cette solidarité aidera le gouvernement qui compte prendre ses responsabilités pour trouver des solutions idoines au phénomène.
Elle a demandé aux guides religieux, chefs coutumiers, groupes de femmes à sensibiliser les familles, afin qu'elles soient vigilantes dans la surveillance de leurs enfants mais aussi à veiller à transmettre à leurs progénitures, des astuces d’autodéfense en ne se laissant pas appâter par des inconnus, ainsi que la transmission des valeurs telles la crainte de Dieu, l’amour travail, le respect de la vie humaine(…).
Anne Ouloto invite les familles au calme et à la sérénité, face aux rumeurs et SMS alarmants, et à faire confiance au gouvernement, afin de trouver des solutions durables à ce fléau.Elle a rappelé que depuis quelques mois 25 cas de rapts d’enfants ont été signalés dont quatre ont été mutilés du fait de "brouteurs" (arnaqueurs sur la toile) et de personnes malveillantes en quête d’enrichissement.
Le gouvernement a déployé 1500 agents des forces de sécurité, dont 1000 policiers, 300 gendarmes et 200 militaires autour des plans d’eau, des cybercafés, des écoles et d’autres points stratégiques, afin de mettre la main sur les ravisseurs d’enfants. Des agents des renseignements généraux sont aussi mis à contribution pour démanteler les réseaux de criminels, rappelle-t-on.
Des numéros verts, le 116, 110, 111,145 et 170 sont par ailleurs mis à la disposition des familles pour signaler les cas d’enlèvements ou cas suspects.
amak/ask