Le préfet de Niakara (région du Hambol), Ya N’Guessan, a initié une rencontre mardi, en vue de prendre localement des mesures sécuritaires contre le phénomène d’enlèvement d’enfants.
A cet effet le commandant de la brigade de gendarmerie de Niakara, l'adjudant Flan Jerôme, a annoncé lors de cette rencontre, la fermeture de cybercafés dépourvus d'une attestation de l'ATCI ainsi que des patrouilles discrètes aux abords établissements scolaires et des forêts sacrées.
Au niveau des responsables locaux du ministère de l'Éducation nationale et l'Enseignement technique (MENET), des mesures préventives ont été aussi prises contre le rapt des élèves.
Ainsi l’inspecteur de l’enseignement primaire, Zégbi Djago, a en accord avec les parents d’élèves, instauré le contrôle systématique de présence des apprenants au début des cours, à la pause récréative ainsi que le recrutement de vigiles en charge de leur surveillance.
Cette rencontre a vu la participation d'éléments de l'ONUCI venus de Bouaké, des responsables de la gendarmerie, d’un détachement des FRCI, des élus locaux, des chefs de services, de villages et de cultes religieux, ainsi que des représentants d'ONG et d’associations de femmes et de jeunes.
jbm/amak/tm
A cet effet le commandant de la brigade de gendarmerie de Niakara, l'adjudant Flan Jerôme, a annoncé lors de cette rencontre, la fermeture de cybercafés dépourvus d'une attestation de l'ATCI ainsi que des patrouilles discrètes aux abords établissements scolaires et des forêts sacrées.
Au niveau des responsables locaux du ministère de l'Éducation nationale et l'Enseignement technique (MENET), des mesures préventives ont été aussi prises contre le rapt des élèves.
Ainsi l’inspecteur de l’enseignement primaire, Zégbi Djago, a en accord avec les parents d’élèves, instauré le contrôle systématique de présence des apprenants au début des cours, à la pause récréative ainsi que le recrutement de vigiles en charge de leur surveillance.
Cette rencontre a vu la participation d'éléments de l'ONUCI venus de Bouaké, des responsables de la gendarmerie, d’un détachement des FRCI, des élus locaux, des chefs de services, de villages et de cultes religieux, ainsi que des représentants d'ONG et d’associations de femmes et de jeunes.
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