Le ministre ivoirien de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques, Gnénéma Mamadou Coulibaly, invite les agents pénitentiaires, en grève depuis lundi, à mettre fin à leur mouvement pour permettre aux discussions d’aboutir.
" Depuis le 02 février 2015, les agents pénitentiaires sont entrés en grève après une première tentative survenue en novembre 2014, au motif que leurs revendications n’auraient pas été satisfaites ; (…) le ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques invite les agents pénitentiaires à mettre fin à leur mouvement afin de donner une chance aux négociations en cours", indique un communiqué du ministère de la Justice, dont copie a été transmise à l’AIP.
Précisant que "certaines revendications (des grévistes) ont déjà connu un aboutissement heureux", le gouvernement qui relève n’avoir jamais interrompu les négociations en cours pour trouver des solutions idoines, "s'engage à poursuivre les négociations", ajoute le communiqué.
"Cependant, l’impatience des agents d'encadrement pénitentiaire n’est pas de nature à favoriser un dialogue serein", déplore le document, qui "inadmissible que des personnes ayant bénéficié de la grâce présidentielle soient maintenues en détention à cause de cette grève, dans un contexte marqué par la grâce présidentielle".
Cet arrêt de travail des agents pénitentiaires intervient quelque deux mois après un premier mouvement similaire, le 28 novembre, qui avait momentanément paralysé les activités dans plusieurs prisons du pays le même jour.
Ils réclament notamment le paiement de diverses primes liées à la spécificité de leur métier, ainsi que des arriérés de salaire.
tm
" Depuis le 02 février 2015, les agents pénitentiaires sont entrés en grève après une première tentative survenue en novembre 2014, au motif que leurs revendications n’auraient pas été satisfaites ; (…) le ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Libertés publiques invite les agents pénitentiaires à mettre fin à leur mouvement afin de donner une chance aux négociations en cours", indique un communiqué du ministère de la Justice, dont copie a été transmise à l’AIP.
Précisant que "certaines revendications (des grévistes) ont déjà connu un aboutissement heureux", le gouvernement qui relève n’avoir jamais interrompu les négociations en cours pour trouver des solutions idoines, "s'engage à poursuivre les négociations", ajoute le communiqué.
"Cependant, l’impatience des agents d'encadrement pénitentiaire n’est pas de nature à favoriser un dialogue serein", déplore le document, qui "inadmissible que des personnes ayant bénéficié de la grâce présidentielle soient maintenues en détention à cause de cette grève, dans un contexte marqué par la grâce présidentielle".
Cet arrêt de travail des agents pénitentiaires intervient quelque deux mois après un premier mouvement similaire, le 28 novembre, qui avait momentanément paralysé les activités dans plusieurs prisons du pays le même jour.
Ils réclament notamment le paiement de diverses primes liées à la spécificité de leur métier, ainsi que des arriérés de salaire.
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