Plus de 62 % des 74 000 ex-combattants de la crise post-électorale de la Côte d’Ivoire ont pu bénéficier d’une réinsertion professionnelle au cours des deux années écoulées, a-t-on appris jeudi auprès de l’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR).
"Le processus d’intégration socio-économique des ex-combattants de la crise post-électorale connaît de réelles avancées", a noté le directeur général de la structure Fidèle Sarassoro, faisant le bilan des actions menées lors d’un entretien avec des médias.
Selon M. Sarassoro, l’Etat de Côte d’Ivoire a financé 80 % du processus. Celui-ci a aussi salué l’engagement des partenaires tels que les Nations-Unies, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement qui ont décidé d’accompagner le processus à travers un financement substantiel.
Fidèle Sarassoro a par ailleurs souligné la nécessité d’accentuer la sensibilisation à l’endroit des ex-combattants encore réticents par rapport au processus, ainsi qu’à l’endroit des autorités locales.
"Nous allons utiliser tous les vecteurs de communication pour passer le message aux ex- combattants afin de leur faire connaître les opportunités qu’offre l’ADDR concernant leur réinsertion", a-t-il promis.
Le responsable de l’ADDR a réaffirmé la détermination du gouvernement et de ses partenaires à poursuivre les efforts dans le sens d’une réinsertion efficiente des anciens belligérants.
Le directeur général de l’ADDR a également indiqué que le socle d’un processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion est la cohésion sociale.
Plusieurs jeunes avaient pris les armes au plus fort de la crise post-électorale pour combattre aux côtés des forces pro- Gbagbo et des forces pro-Ouattara.
De source officielle, le programme de démobilisation et de réinsertion de ces jeunes ex-belligérants va coûter 92 milliards de francs CFA (140 millions d’euros).
"Le processus d’intégration socio-économique des ex-combattants de la crise post-électorale connaît de réelles avancées", a noté le directeur général de la structure Fidèle Sarassoro, faisant le bilan des actions menées lors d’un entretien avec des médias.
Selon M. Sarassoro, l’Etat de Côte d’Ivoire a financé 80 % du processus. Celui-ci a aussi salué l’engagement des partenaires tels que les Nations-Unies, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement qui ont décidé d’accompagner le processus à travers un financement substantiel.
Fidèle Sarassoro a par ailleurs souligné la nécessité d’accentuer la sensibilisation à l’endroit des ex-combattants encore réticents par rapport au processus, ainsi qu’à l’endroit des autorités locales.
"Nous allons utiliser tous les vecteurs de communication pour passer le message aux ex- combattants afin de leur faire connaître les opportunités qu’offre l’ADDR concernant leur réinsertion", a-t-il promis.
Le responsable de l’ADDR a réaffirmé la détermination du gouvernement et de ses partenaires à poursuivre les efforts dans le sens d’une réinsertion efficiente des anciens belligérants.
Le directeur général de l’ADDR a également indiqué que le socle d’un processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion est la cohésion sociale.
Plusieurs jeunes avaient pris les armes au plus fort de la crise post-électorale pour combattre aux côtés des forces pro- Gbagbo et des forces pro-Ouattara.
De source officielle, le programme de démobilisation et de réinsertion de ces jeunes ex-belligérants va coûter 92 milliards de francs CFA (140 millions d’euros).