Divo – Une campagne a été lancée jeudi à Divo pour sensibiliser les populations de la région du Lôh-Djiboua sur les mesures préventives face au phénomène d’enlèvements des enfants.
Il s’agit, pour les initiateurs, de sillonner les principales localités de la région pour porter le message de la prudence que tous doivent observer en vue d’échapper aux malfaiteurs qui enlèvent et parfois tuent des enfants en Côte d’Ivoire.
Désormais, les enfants doivent toujours être accompagnés et ils ne doivent faire confiance à personne, peut-on lire dans le guide confectionné à cet effet.
Selon la directrice régionale de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Mariam Bakayoko épouse Sékongo, la région du Lôh-Djiboua n’est pas en marge de ce ‘’ triste phénomène’’ qui secoue l’ensemble du pays.
Elle rappelle qu’au cours de l’année écoulée, sept cas dont trois à Fresco ont été répertoriés. En 2015, une tentative infructueuse a été signalée, selon elle, dans un village de la commune de Divo.
« Il n’y a pas de quoi s’alarmer. L’Etat a les moyens d’assurer la sécurité des citoyens. Ce que vous devez faire, c’est de donner les informations aux forces de sécurité pour leur permettre de faire leur travail. Il faut éviter de se faire justice », conseille pour sa part le préfet de la région du Lôh-Djiboua, préfet du département de Divo, Joseph Kpan Droh.
La police et la gendarmerie patrouillent aux abords des lieux de regroupement des enfants. Des points fixes ont été installés aux abords des écoles et des agents en tenue civile observent tous les mouvements des passants, indique-t-on.
(AIP)
gso/kkp/ask
Il s’agit, pour les initiateurs, de sillonner les principales localités de la région pour porter le message de la prudence que tous doivent observer en vue d’échapper aux malfaiteurs qui enlèvent et parfois tuent des enfants en Côte d’Ivoire.
Désormais, les enfants doivent toujours être accompagnés et ils ne doivent faire confiance à personne, peut-on lire dans le guide confectionné à cet effet.
Selon la directrice régionale de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Mariam Bakayoko épouse Sékongo, la région du Lôh-Djiboua n’est pas en marge de ce ‘’ triste phénomène’’ qui secoue l’ensemble du pays.
Elle rappelle qu’au cours de l’année écoulée, sept cas dont trois à Fresco ont été répertoriés. En 2015, une tentative infructueuse a été signalée, selon elle, dans un village de la commune de Divo.
« Il n’y a pas de quoi s’alarmer. L’Etat a les moyens d’assurer la sécurité des citoyens. Ce que vous devez faire, c’est de donner les informations aux forces de sécurité pour leur permettre de faire leur travail. Il faut éviter de se faire justice », conseille pour sa part le préfet de la région du Lôh-Djiboua, préfet du département de Divo, Joseph Kpan Droh.
La police et la gendarmerie patrouillent aux abords des lieux de regroupement des enfants. Des points fixes ont été installés aux abords des écoles et des agents en tenue civile observent tous les mouvements des passants, indique-t-on.
(AIP)
gso/kkp/ask
