Bouaflé – Le préfet de région et du département de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), Gbamélé Adrien, a procédé à l’installation du comité d’étude d’impact environnemental et social du projet aurifère Yaouré.
Cette cérémonie a eu lieu vendredi à Kouakougnangnou, localité située à 30 km de Bouaflé.
Cette étude, initiée par la société aurifère Amara Mining installée dans la localité d’Angovia, permettra d’établir un état initial des données socioéconomiques, afin d’évaluer les impacts du projet et de déterminer les mesures d’atténuation et les plans de gestion et de développement communautaires des villages concernés, conformément au nouveau codes minier de mars 2015.
Selon le représentant du directeur de l’exploration à Amara Mining, Yao Michel, l’étude est le résultat de la découverte dans la région d’un gisement économiquement exploitable de 6 800 000 onces de ressources minérales, le plus important dans le secteur aurifère en Côte d’Ivoire.
« Nous comptons sur tous les membres du futur comité pour prendre les dispositions appropriées en vue de contribuer activement aux activités et de veiller à ce que l’étude se déroule dans les meilleures conditions afin d’espérer un rapport de qualité qui sera validé en première instance », a-t-il fait savoir.
Le comité comprend le préfet de région et le sous préfet de Bouaflé, les directeurs régionaux de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable, de l’Agriculture, de l’Industrie et des Mines, une équipe d’experts en charge de la réalisation de l’étude et un représentant de chaque village impacté par le projet.
Sa mission est de faciliter les activités de collecte de données sur le terrain et les interactions entre les communautés et la compagnie, d’organiser les consultations publiques et restituer le rapport de l’étude aux populations impactée.
La société Amara Mining, active dans la recherche et l’exploitation de l’or en Afrique de l’ouest a investi près de 23 milliards de F CFA de juin 2011 à décembre 2014 en Cote d’Ivoire, grâce à deux permis qu’elle a obtenus, pour notamment dans la région de la Marahoué.
(AIP)
zaar/tm
Cette cérémonie a eu lieu vendredi à Kouakougnangnou, localité située à 30 km de Bouaflé.
Cette étude, initiée par la société aurifère Amara Mining installée dans la localité d’Angovia, permettra d’établir un état initial des données socioéconomiques, afin d’évaluer les impacts du projet et de déterminer les mesures d’atténuation et les plans de gestion et de développement communautaires des villages concernés, conformément au nouveau codes minier de mars 2015.
Selon le représentant du directeur de l’exploration à Amara Mining, Yao Michel, l’étude est le résultat de la découverte dans la région d’un gisement économiquement exploitable de 6 800 000 onces de ressources minérales, le plus important dans le secteur aurifère en Côte d’Ivoire.
« Nous comptons sur tous les membres du futur comité pour prendre les dispositions appropriées en vue de contribuer activement aux activités et de veiller à ce que l’étude se déroule dans les meilleures conditions afin d’espérer un rapport de qualité qui sera validé en première instance », a-t-il fait savoir.
Le comité comprend le préfet de région et le sous préfet de Bouaflé, les directeurs régionaux de l’Environnement, de la Salubrité urbaine et du Développement durable, de l’Agriculture, de l’Industrie et des Mines, une équipe d’experts en charge de la réalisation de l’étude et un représentant de chaque village impacté par le projet.
Sa mission est de faciliter les activités de collecte de données sur le terrain et les interactions entre les communautés et la compagnie, d’organiser les consultations publiques et restituer le rapport de l’étude aux populations impactée.
La société Amara Mining, active dans la recherche et l’exploitation de l’or en Afrique de l’ouest a investi près de 23 milliards de F CFA de juin 2011 à décembre 2014 en Cote d’Ivoire, grâce à deux permis qu’elle a obtenus, pour notamment dans la région de la Marahoué.
(AIP)
zaar/tm
