Abidjan – Le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Ousmane Diagana, affirme que l’économie ivoirienne a enregistré ces trois dernières années des "performances extraordinaires" et qui ouvrent des "perspectives prometteuses".
"L’économie ivoirienne connaît une performance extraordinaires pendant ces trois dernières années (…) et surtout des perspectives qui sont par ailleurs prometteuses", a déclaré Ousmane Diagana lors de la présentation, lundi, du premier rapport de la Banque mondiale sur les performances économiques ivoiriennes depuis la fin de la crise post-électorale.
Cette embellie, selon le directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, est due à plusieurs secteurs d’activité qui ont contribué à la croissance des produit intérieur brut (PIB) tiré par le volume de l’investissement public, la forte progression de l’agriculture et du secteur des services dans la formation du PIB.
"Il est indéniable que les investissements publics pour la reconstruction des infrastructures ont eu des effets positifs sur les investissements privés et donc sur la croissance économique", a-t-il commenté.
Le rapport dit "provisoire" soumis à débat vise à stimuler le dialogue constructif entre la Côte d’Ivoire et ses partenaires internationaux, a expliqué un des rédacteurs du rapport, l’économiste principal, Volker Treichel.
Le rapport, a-t-il poursuivi, examine surtout les facteurs ayant contribué à la reprise de la croissance en Côte d’Ivoire et les perspectives de croissance.
Ce rapport sur la Côte d’Ivoire qui est à sa première édition indique que l’économie ivoirienne offre de bonnes perspectives de croissance avec un taux de croissance annuelle de 8% par an et fait cependant plusieurs recommandations.
Il s’agit de la consolidation de réconciliation nationale et la stabilité socio-politique, de la poursuite de grands investissements en infrastructures publics et le maintien de la stabilité macroéconomique et du rythme des réformes structurelles en faveur du secteur privé.
Le rapport mise sur un fort développement des secteurs vulnérables à la guerre à savoir, le transport, la manufacture, les services financiers et le commerce et espère que la baisse du prix du pétrole et la hausse du dollar par à l’euro et au franc CFA apporteront un plus à l’économie ivoirienne.
(AIP)
kkf/cmas
"L’économie ivoirienne connaît une performance extraordinaires pendant ces trois dernières années (…) et surtout des perspectives qui sont par ailleurs prometteuses", a déclaré Ousmane Diagana lors de la présentation, lundi, du premier rapport de la Banque mondiale sur les performances économiques ivoiriennes depuis la fin de la crise post-électorale.
Cette embellie, selon le directeur des opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, est due à plusieurs secteurs d’activité qui ont contribué à la croissance des produit intérieur brut (PIB) tiré par le volume de l’investissement public, la forte progression de l’agriculture et du secteur des services dans la formation du PIB.
"Il est indéniable que les investissements publics pour la reconstruction des infrastructures ont eu des effets positifs sur les investissements privés et donc sur la croissance économique", a-t-il commenté.
Le rapport dit "provisoire" soumis à débat vise à stimuler le dialogue constructif entre la Côte d’Ivoire et ses partenaires internationaux, a expliqué un des rédacteurs du rapport, l’économiste principal, Volker Treichel.
Le rapport, a-t-il poursuivi, examine surtout les facteurs ayant contribué à la reprise de la croissance en Côte d’Ivoire et les perspectives de croissance.
Ce rapport sur la Côte d’Ivoire qui est à sa première édition indique que l’économie ivoirienne offre de bonnes perspectives de croissance avec un taux de croissance annuelle de 8% par an et fait cependant plusieurs recommandations.
Il s’agit de la consolidation de réconciliation nationale et la stabilité socio-politique, de la poursuite de grands investissements en infrastructures publics et le maintien de la stabilité macroéconomique et du rythme des réformes structurelles en faveur du secteur privé.
Le rapport mise sur un fort développement des secteurs vulnérables à la guerre à savoir, le transport, la manufacture, les services financiers et le commerce et espère que la baisse du prix du pétrole et la hausse du dollar par à l’euro et au franc CFA apporteront un plus à l’économie ivoirienne.
(AIP)
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