En marge du forum du groupe de la Banque mondiale sur les Etats fragiles, tenu au siège de l’institution financière à Washington, Daniel Kablan Duncan s’est entretenu avec plusieurs investisseurs, spécialisés dans les secteurs des télécoms et de l’agriculture, notamment le café et le cacao… Sur la base des progrès réalisés en Côte d’Ivoire en termes de sécurité, d’incitation à l’investissement, du retour au calme, de la baisse du taux d’insécurité, le chef du gouvernement a pu obtenir la garantie de nombreux opérateurs économiques qui ont promis de venir investir en Côte d’Ivoire afin de participer au rayonnement de la vie socio-économique. Cette assurance des investisseurs sonne pour le Premier ministre et sa délégation comme une sorte de lueur d’espoir non seulement pour l’économie nationale qui en tirera des dividendes à travers des taxes, mais aussi pour la jeunesse ivoirienne dont une frange importante est en quête d’emploi. L’argument qui a le plus pesé dans les débats lors des échanges avec les investisseurs dont les groupes Cargill, Coleman, Agrismart, c’est le renforcement du partenariat public-privé, avec le soutien des partenaires au développement.
Une politique dont les résultats ont permis de réaliser un grand bond, avec un taux de croissance moyen de 9% depuis 2012, avec des raisons palpables de croire en une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020, comme l’a projeté le président de la République, Alassane Ouattara. C’est alors que le Premier ministre, au vu de cette expérience enviable vécue au cours des quatre dernières années en Côte d’Ivoire, a déclaré que pour lui, un pays qui sort fragilisé d’un conflit a besoin des cinq recettes suivantes : une vision, à l’instar de la Côte d’Ivoire qui se veut émergente à l’horizon 2020 ; une volonté politique réelle de ses dirigeants ; le travail, le travail et encore le travail, jusqu’à 18 heures de travail sur 24; un capital humain constitué de jeunes bien formés ; et enfin, l’intégration économique dans le cadre de grands ensembles régionaux, tels que la Cedeao qui revendique 300 millions de consommateurs. Le chef du gouvernement qui était à la fois sur deux fronts (Forum sur les Etats fragiles et le lobbing autour du second Eurobond), a pu bénéficier des riches expériences des têtes de proue sur la gestion post-conflit et les stratégies de relance de l’économie. Au nombre de ces têtes pensantes, Jean-Philippe Prosper, vice-président de la SFI; le Premier ministre Kablan Duncan; Ed Garcia, Pdg de Firestone Liberia; Nigel Twose, Directeur sénior à SFI; Paul Collier, co-directeur du Centre d’études d’économies africaines, Professeur d’Economie et de politique publique.
HK avec Sercom
Une politique dont les résultats ont permis de réaliser un grand bond, avec un taux de croissance moyen de 9% depuis 2012, avec des raisons palpables de croire en une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020, comme l’a projeté le président de la République, Alassane Ouattara. C’est alors que le Premier ministre, au vu de cette expérience enviable vécue au cours des quatre dernières années en Côte d’Ivoire, a déclaré que pour lui, un pays qui sort fragilisé d’un conflit a besoin des cinq recettes suivantes : une vision, à l’instar de la Côte d’Ivoire qui se veut émergente à l’horizon 2020 ; une volonté politique réelle de ses dirigeants ; le travail, le travail et encore le travail, jusqu’à 18 heures de travail sur 24; un capital humain constitué de jeunes bien formés ; et enfin, l’intégration économique dans le cadre de grands ensembles régionaux, tels que la Cedeao qui revendique 300 millions de consommateurs. Le chef du gouvernement qui était à la fois sur deux fronts (Forum sur les Etats fragiles et le lobbing autour du second Eurobond), a pu bénéficier des riches expériences des têtes de proue sur la gestion post-conflit et les stratégies de relance de l’économie. Au nombre de ces têtes pensantes, Jean-Philippe Prosper, vice-président de la SFI; le Premier ministre Kablan Duncan; Ed Garcia, Pdg de Firestone Liberia; Nigel Twose, Directeur sénior à SFI; Paul Collier, co-directeur du Centre d’études d’économies africaines, Professeur d’Economie et de politique publique.
HK avec Sercom