Ci-dessous, le communiqué de presse de Monsieur l’Ambassadeur Georges Ouégnin du 18 février 2015.
« Monsieur l’Ambassadeur Georges OUEGNIN, Directeur du protocole de la Côte d’Ivoire de 1960 à 2001, qui a servi le Président Félix HOUPHOUET-BOIGNY pendant 33 ans, a déposé le mercredi 18 février 2015 une plainte en dénonciation calomnieuse auprès du Tribunal de Grande Instance de Paris.
En effet, Monsieur Georges OUEGNIN a appris d’abord par la presse française le mercredi 04 février 2015, puis lors de son audition en qualité de témoin le mercredi 11 février 2015 par les services de police, qu’il était accusé d’avoir prétendument détourné un immeuble de la succession du Président Félix HOUPHOUET-BOIGNY.
Monsieur Georges OUEGNIN a immédiatement communiqué aux services d’enquêtes les titres de propriété de cet immeuble acquis en 1978.
Afin de mettre un terme aux contre-vérités qui ont circulé et de répondre aux légitimes interrogations qui se sont faites jour, l’Ambassadeur Georges OUEGNIN entend désormais poursuivre et faire condamner ceux qui n’ont pas hésité, 22 ans après la mort du Président HOUPHOUET-BOIGNY, à porter de telles accusations dont ils ne pouvaient d’autant moins ignorer le caractère mensonger que son parcours exemplaire est reconnu et salué tant sur le plan national qu’international. »
« Monsieur l’Ambassadeur Georges OUEGNIN, Directeur du protocole de la Côte d’Ivoire de 1960 à 2001, qui a servi le Président Félix HOUPHOUET-BOIGNY pendant 33 ans, a déposé le mercredi 18 février 2015 une plainte en dénonciation calomnieuse auprès du Tribunal de Grande Instance de Paris.
En effet, Monsieur Georges OUEGNIN a appris d’abord par la presse française le mercredi 04 février 2015, puis lors de son audition en qualité de témoin le mercredi 11 février 2015 par les services de police, qu’il était accusé d’avoir prétendument détourné un immeuble de la succession du Président Félix HOUPHOUET-BOIGNY.
Monsieur Georges OUEGNIN a immédiatement communiqué aux services d’enquêtes les titres de propriété de cet immeuble acquis en 1978.
Afin de mettre un terme aux contre-vérités qui ont circulé et de répondre aux légitimes interrogations qui se sont faites jour, l’Ambassadeur Georges OUEGNIN entend désormais poursuivre et faire condamner ceux qui n’ont pas hésité, 22 ans après la mort du Président HOUPHOUET-BOIGNY, à porter de telles accusations dont ils ne pouvaient d’autant moins ignorer le caractère mensonger que son parcours exemplaire est reconnu et salué tant sur le plan national qu’international. »