La ministre de la solidarité, de la femme, de la famille et de l’enfant Anne Desirée Ouloto a rendu visite ce dimanche 22 février 2015 à Moise, un enfant de 3 ans retrouvé enterré en bordure de mer à Bassam.
L’enfant, selon le Dr Gisèle Soro, a été admis au CHU de Cocody le vendredi en début de soirée « dans un mauvais état général ». Aussitôt arrivé dans ce Centre Hospitalier, le petit Moïse a été pris en charge par les services du Dr Gisèle Soro. « Nous l’avons pris en charge et l’avons soumis à un programme anti malnutrition. Avec la rééducation on peut récupérer l’enfant », a-t-elle dit.
Quant à la ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, elle a condamné l’acte d’enterrement de cet enfant, alors qu’il est encore en vie. « Cet enfant a droit à la vie, à l’amour à l’affection. Nous devons nous mobiliser pour lui apporter toute l’assistance nécessaire », A exhorté Anne Ouloto.
Elle a invité la mère de Moïse à se faire connaitre afin de bénéficier de l’aide de l’Etat dans la prise en charge de Moïse, à travers des structures étatiques. Selon certaines indiscrétions, la mère de Moïse ne supportant avoir un fils souffrir d’handicap, pourrait être à la base de cet acte qualifié d’inhumain.
L’enfant, selon le Dr Gisèle Soro, a été admis au CHU de Cocody le vendredi en début de soirée « dans un mauvais état général ». Aussitôt arrivé dans ce Centre Hospitalier, le petit Moïse a été pris en charge par les services du Dr Gisèle Soro. « Nous l’avons pris en charge et l’avons soumis à un programme anti malnutrition. Avec la rééducation on peut récupérer l’enfant », a-t-elle dit.
Quant à la ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, elle a condamné l’acte d’enterrement de cet enfant, alors qu’il est encore en vie. « Cet enfant a droit à la vie, à l’amour à l’affection. Nous devons nous mobiliser pour lui apporter toute l’assistance nécessaire », A exhorté Anne Ouloto.
Elle a invité la mère de Moïse à se faire connaitre afin de bénéficier de l’aide de l’Etat dans la prise en charge de Moïse, à travers des structures étatiques. Selon certaines indiscrétions, la mère de Moïse ne supportant avoir un fils souffrir d’handicap, pourrait être à la base de cet acte qualifié d’inhumain.