Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Anne Desirée Ouloto, a rendu visite dimanche à Moïse, un enfant de trois ans retrouvé enterré en bordure de mer à Grand-Bassam, rapporte une note d’information du ministère.
L’enfant, selon le Dr Gisèle Soro, a été admis au CHU de Cocody vendredi en début de soirée « dans un mauvais état général ». Aussitôt arrivé dans ce centre hospitalier, le petit Moïse a été pris en charge par les services du Dr Gisèle Soro. « Nous l’avons pris en charge et l’avons soumis à un programme anti malnutrition. Avec la rééducation, on peut récupérer l’enfant », a-t-elle dit.
Quant à la ministre Anne Désirée Ouloto, elle a condamné l’acte d’enterrement de cet enfant, alors qu’il est encore en vie. « Cet enfant a droit à la vie, à l’amour à l’affection. Nous devons nous mobiliser pour lui apporter toute l’assistance nécessaire », a-t-elle dit.
Elle a invité la mère de Moïse à se faire connaître afin de bénéficier de l’aide de l’Etat dans ls prise en charge, à travers des structures étatiques. Selon certaines indiscrétions, la mère de Moïse ne supportant avoir un fils souffrir de handicap, pourrait être à la base de cet acte qualifié d’inhumain.
(AIP)
cmas
L’enfant, selon le Dr Gisèle Soro, a été admis au CHU de Cocody vendredi en début de soirée « dans un mauvais état général ». Aussitôt arrivé dans ce centre hospitalier, le petit Moïse a été pris en charge par les services du Dr Gisèle Soro. « Nous l’avons pris en charge et l’avons soumis à un programme anti malnutrition. Avec la rééducation, on peut récupérer l’enfant », a-t-elle dit.
Quant à la ministre Anne Désirée Ouloto, elle a condamné l’acte d’enterrement de cet enfant, alors qu’il est encore en vie. « Cet enfant a droit à la vie, à l’amour à l’affection. Nous devons nous mobiliser pour lui apporter toute l’assistance nécessaire », a-t-elle dit.
Elle a invité la mère de Moïse à se faire connaître afin de bénéficier de l’aide de l’Etat dans ls prise en charge, à travers des structures étatiques. Selon certaines indiscrétions, la mère de Moïse ne supportant avoir un fils souffrir de handicap, pourrait être à la base de cet acte qualifié d’inhumain.
(AIP)
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