La princesse Ira de Furstenberg place beaucoup d’espoir dans cette grande première en Afrique.
Passionnée des objets, vous organisez à Abidjan, les 25 et 26 février, une exposition dénommée « Objets uniques ». Quelles en sont les motivations Tout d’abord, je suis très heureuse d’exposer pour la première fois en Afrique et, plus particulièrement, à Abidjan, c’est une ville que j’apprécie beaucoup. J’y suis venue plusieurs fois, à l’invitation de mon amie, la Première dame, Mme Dominique Ouattara, dans le cadre des activités de sa Fondation dont je suis la marraine.
J’ai, à chaque fois, été reçue avec beaucoup de chaleur et de gentillesse, j’ai donc décidé d’y tenir l’exposition « Objets uniques » pour lui témoigner mon soutien et mon affection.
La Côte d’Ivoire sera, comme je l’ai mentionné plus haut, le premier pays africain à accueillir, cet événement qui s’est déjà tenu dans plusieurs pays. En Europe, j’ai exposé à Londres, Paris, Genève, Athènes, Monaco, et Milan ; aux Etats-Unis : à Palm-Beach, Los Angeles, New York ; j’ai également exposé en Asie : à Hong Kong, Singapour et en Indonésie.
Quelles pièces présenterez-vous au public ?
Je présenterai différents types de collections telles que les cristaux et les lapis lazuli, les animaux sauvages, les galuchats, les coffrets en bois revêtus et les collections de vases à base de différentes pierres précieuses.
Marraine de la Fondation Children of Africa dont la présidente est la Première dame de Côte d’Ivoire,
Mme Dominique Ouattara, vous entendez reverser les bénéfices de cette vente à ladite Fondation pour aider l’enfance déshéritée. Vous n’en seriez pas à votre premier geste du genre…
Madame Dominique Ouattara est une amie que j’apprécie beaucoup. Je trouve que toutes les oeuvres caritatives en faveur des enfants d’Afrique sont remarquables, voilà pourquoi, lorsqu’elle m’a demandé d’être la marraine de sa Fondation, je n’ai pas hésité. Depuis lors, je la soutiens dans ce combat, tant par ma présence à ses côtés que par l’organisation d’évènements au profit de Children of Africa.
Vous avez la réputation de transformer de simples objets en véritables oeuvres d’art. D’où vous viennent cette passion et ce génie créateur ?
Merci pour votre compliment. En fait, ma vie et ma passion se confondent. Ma curiosité du monde a entretenu ma passion pour les objets et vice versa.
Très tôt, j’ai eu la chance de parcourir le monde, à la découverte d’oeuvres d’art et objets exceptionnels, me laissant guider par l’amour de l’art. J’ai donc été soumise à différentes influences qui me permettent de transformer chaque objet que je travaille, selon une perception tout à fait personnelle et unique.
Vous auriez plus de 1300 objets à votre actif dont beaucoup évoquent l’Afrique, un continent que vous affectionnez particulièrement. Ces objets symboles sont-ils au programme d’Abidjan ?
J’ai, en fait, créé plus de de 2100 oeuvres de toute sorte en 20 ans : des coffrets, des coupe-papiers, des cadres, des coupes, vide-poches, des centres de table etc., et, bien sûr, plusieurs évoquent l’Afrique. Je réalise mes oeuvres essentiellement avec des matériaux tels que : le quartz, le cristal de roche, le porphyre, la malachite, le jade, le corail, l’or, l’argent et le bronze doré. Pour cette première exposition en Afrique, je viens donc avec quelques oeuvres d’animaux sauvages et d’autre objets de ma collection qui, je pense, plairont au public ivoirien.
L’exposition d’Abidjan aura-t-elle quelque chose de particulier par rapport à toutes celles que vous
avez déjà organisées ?
Assurément, l’exposition d’Abidjan a quelque chose de particulier. D’un, c’est la première fois que mes objets sont présentés sur le continent et je m’en réjouis. C’est pour moi une grande aventure et une opportunité que j’attends avec impatience.
De deux, c’est une exposition que j’organise à titre caritatif, pour soutenir la Fondation de mon amie, Mme Dominique Ouattara. J’espère donc que le public viendra massivement et que cette première exposition marquera le début d’une série de nombreuses autres sur le continent africain.
INTERVIEW RÉALISÉE PAR MAIL PAR
ELVIS KODJO
Passionnée des objets, vous organisez à Abidjan, les 25 et 26 février, une exposition dénommée « Objets uniques ». Quelles en sont les motivations Tout d’abord, je suis très heureuse d’exposer pour la première fois en Afrique et, plus particulièrement, à Abidjan, c’est une ville que j’apprécie beaucoup. J’y suis venue plusieurs fois, à l’invitation de mon amie, la Première dame, Mme Dominique Ouattara, dans le cadre des activités de sa Fondation dont je suis la marraine.
J’ai, à chaque fois, été reçue avec beaucoup de chaleur et de gentillesse, j’ai donc décidé d’y tenir l’exposition « Objets uniques » pour lui témoigner mon soutien et mon affection.
La Côte d’Ivoire sera, comme je l’ai mentionné plus haut, le premier pays africain à accueillir, cet événement qui s’est déjà tenu dans plusieurs pays. En Europe, j’ai exposé à Londres, Paris, Genève, Athènes, Monaco, et Milan ; aux Etats-Unis : à Palm-Beach, Los Angeles, New York ; j’ai également exposé en Asie : à Hong Kong, Singapour et en Indonésie.
Quelles pièces présenterez-vous au public ?
Je présenterai différents types de collections telles que les cristaux et les lapis lazuli, les animaux sauvages, les galuchats, les coffrets en bois revêtus et les collections de vases à base de différentes pierres précieuses.
Marraine de la Fondation Children of Africa dont la présidente est la Première dame de Côte d’Ivoire,
Mme Dominique Ouattara, vous entendez reverser les bénéfices de cette vente à ladite Fondation pour aider l’enfance déshéritée. Vous n’en seriez pas à votre premier geste du genre…
Madame Dominique Ouattara est une amie que j’apprécie beaucoup. Je trouve que toutes les oeuvres caritatives en faveur des enfants d’Afrique sont remarquables, voilà pourquoi, lorsqu’elle m’a demandé d’être la marraine de sa Fondation, je n’ai pas hésité. Depuis lors, je la soutiens dans ce combat, tant par ma présence à ses côtés que par l’organisation d’évènements au profit de Children of Africa.
Vous avez la réputation de transformer de simples objets en véritables oeuvres d’art. D’où vous viennent cette passion et ce génie créateur ?
Merci pour votre compliment. En fait, ma vie et ma passion se confondent. Ma curiosité du monde a entretenu ma passion pour les objets et vice versa.
Très tôt, j’ai eu la chance de parcourir le monde, à la découverte d’oeuvres d’art et objets exceptionnels, me laissant guider par l’amour de l’art. J’ai donc été soumise à différentes influences qui me permettent de transformer chaque objet que je travaille, selon une perception tout à fait personnelle et unique.
Vous auriez plus de 1300 objets à votre actif dont beaucoup évoquent l’Afrique, un continent que vous affectionnez particulièrement. Ces objets symboles sont-ils au programme d’Abidjan ?
J’ai, en fait, créé plus de de 2100 oeuvres de toute sorte en 20 ans : des coffrets, des coupe-papiers, des cadres, des coupes, vide-poches, des centres de table etc., et, bien sûr, plusieurs évoquent l’Afrique. Je réalise mes oeuvres essentiellement avec des matériaux tels que : le quartz, le cristal de roche, le porphyre, la malachite, le jade, le corail, l’or, l’argent et le bronze doré. Pour cette première exposition en Afrique, je viens donc avec quelques oeuvres d’animaux sauvages et d’autre objets de ma collection qui, je pense, plairont au public ivoirien.
L’exposition d’Abidjan aura-t-elle quelque chose de particulier par rapport à toutes celles que vous
avez déjà organisées ?
Assurément, l’exposition d’Abidjan a quelque chose de particulier. D’un, c’est la première fois que mes objets sont présentés sur le continent et je m’en réjouis. C’est pour moi une grande aventure et une opportunité que j’attends avec impatience.
De deux, c’est une exposition que j’organise à titre caritatif, pour soutenir la Fondation de mon amie, Mme Dominique Ouattara. J’espère donc que le public viendra massivement et que cette première exposition marquera le début d’une série de nombreuses autres sur le continent africain.
INTERVIEW RÉALISÉE PAR MAIL PAR
ELVIS KODJO