Une ressortissante française qui s’est faite soutirer la mirobolande somme de 26 240 000 francs cfa soit 40 000 euros par une bande de cyberescrocs peut souffler un « ouf » de soulagement. Deux d’entre eux viennent d’être pris par les agents de la PLCC qui ne ménage aucun effort pour être aux trousses de ces individus indelicats. Lesquels ne cessent à vrai dire de troubler la quiétude de nombreux internautes à travers le monde. Il s’agit entre autres de NIONSSIEU EMMANUEL ISAAC et SEBON KANE GILDAS AYMARD.
Au cours de l’audition, la victime a déclaré avoir rencontré sur internet le chef de la bande, surnommé « FRANCK POINT » qui lui a fait croire qu’il vivait à Strasbourg. Et qu’il menait des activités de vente de véhicules en Côte d’Ivoire. Dira-t-elle.
Son bourreau lui a raconté également des histoires emouvantes pendant leurs echanges amoureux. Ce qui l’a conduit à debourser le montant en question, a-t-elle fait savoir.
Quant aux deux interpellés, leur rôle était d’accueillir la ressortissante française à l’aéroport international Felix Houphouet Boigny, sur recommandation de leur chef, actuellement en fuite. Ont-ils avoué.
Il est bon de signifier qu’aussi les investigations ont permis de découvrir que ces individus echangeaient avec des personnes vivant à l’étranger notamment des occidentaux.
Nos mises en causes ont été déférées devant le parquet pour escroquerie, faux et usage de faux.
En application des nouvelles dispositions sur la cybercriminalité, les présumés cyberdelinquants risqueraient une peine allant jusqu’à 20 ans de prison ferme, et une amende de 40 millions de frs cfa.
Au cours de l’audition, la victime a déclaré avoir rencontré sur internet le chef de la bande, surnommé « FRANCK POINT » qui lui a fait croire qu’il vivait à Strasbourg. Et qu’il menait des activités de vente de véhicules en Côte d’Ivoire. Dira-t-elle.
Son bourreau lui a raconté également des histoires emouvantes pendant leurs echanges amoureux. Ce qui l’a conduit à debourser le montant en question, a-t-elle fait savoir.
Quant aux deux interpellés, leur rôle était d’accueillir la ressortissante française à l’aéroport international Felix Houphouet Boigny, sur recommandation de leur chef, actuellement en fuite. Ont-ils avoué.
Il est bon de signifier qu’aussi les investigations ont permis de découvrir que ces individus echangeaient avec des personnes vivant à l’étranger notamment des occidentaux.
Nos mises en causes ont été déférées devant le parquet pour escroquerie, faux et usage de faux.
En application des nouvelles dispositions sur la cybercriminalité, les présumés cyberdelinquants risqueraient une peine allant jusqu’à 20 ans de prison ferme, et une amende de 40 millions de frs cfa.