Au cours d’une conférence de presse mardi à Abidjan, un collectif de cadres des Affaires maritimes et portuaires (COCAMP) a exigé le départ du Directeur général colonel Tano Koffi Bertin, à qui il reproche « un management autocratique, une lenteur dans la gestion des dossiers administratifs et une opacité dans la gestion des ressources financières »
Selon le porte-parole de ce collectif, par ailleurs Secrétaire général du COCAMP, le capitaine Ouattara Zanga, depuis l’avènement du Colonel Tano Koffi Bertin à la tête de la DGAMP, la structure est confrontée à une insuffisance de matériels de travail et d’engins roulant. Le malaise est d’autant plus important que deux syndicats (FLAM et H2O) ont porté devant les instances judiciaires des faits de « soupçon graves de détournement de deniers publics portant sur plusieurs milliards », à l’encontre du DG.
Une autre procédure serait engagée devant la Chambre administrative de la Cour Suprême, cette fois fois pour refus d’appliquer l’arrêté n°270/MT/DGAMP du 08 juillet 2014 portant répartition des primes des agents. Pour permettre à l’institution de fonctionner normalement, le COCAMP exige la nomination d’un DG intérimaire par le ministère du Transport la tutelle pour assainir les finances, faire voter le Code maritime, les résolutions des Etats généraux de la mer de 2011, et réorganiser l’administration de la DGAMP dans le cadre de la Réforme du Système de Sécurité. Toute chose qui permettra à l’actuel DG du DGAMP de mieux assurer sereinement sa défense.
Selon le porte-parole de ce collectif, par ailleurs Secrétaire général du COCAMP, le capitaine Ouattara Zanga, depuis l’avènement du Colonel Tano Koffi Bertin à la tête de la DGAMP, la structure est confrontée à une insuffisance de matériels de travail et d’engins roulant. Le malaise est d’autant plus important que deux syndicats (FLAM et H2O) ont porté devant les instances judiciaires des faits de « soupçon graves de détournement de deniers publics portant sur plusieurs milliards », à l’encontre du DG.
Une autre procédure serait engagée devant la Chambre administrative de la Cour Suprême, cette fois fois pour refus d’appliquer l’arrêté n°270/MT/DGAMP du 08 juillet 2014 portant répartition des primes des agents. Pour permettre à l’institution de fonctionner normalement, le COCAMP exige la nomination d’un DG intérimaire par le ministère du Transport la tutelle pour assainir les finances, faire voter le Code maritime, les résolutions des Etats généraux de la mer de 2011, et réorganiser l’administration de la DGAMP dans le cadre de la Réforme du Système de Sécurité. Toute chose qui permettra à l’actuel DG du DGAMP de mieux assurer sereinement sa défense.