Abidjan - La première conférence ministérielle régionale sur l’apatridie en Afrique de l’Ouest qui s’est tenue du de lundi à mercredi à Abidjan, a recommandé aux Etats membres la prévention comme moyen de lutte pour venir à bout de ce phénomène.
Les assises qui ont appelé les pays à ratifier les deux conventions et à la mise en place d’un comité de suivi, ont, en outre, préconisé cinq autres points.
Il s’agit de prévenir de l’apatridie par l’enregistrement des naissances et le renforcement des systèmes de documentation, les engagements politiques, les partenariats et l’échange d’information, l’identification des apatrides, la protection des apatrides ainsi que les Etats qui doivent identifier les obstacles qui exigent dans leurs législations nationales pour l’acquisition de la nationalité.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a exhorté à l’ouverture de cette conférence mercredi à une action concertée des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique (CEDEAO). Il les a appelés à faire preuve de courage politique, de solidarité et de mobilisation pour redonner leur dignité à ces milliers d’individus sans lien juridique avec aucun pays, et qui sont des cibles potentielles pour des groupes terroristes.
L’espace CEDEAO compte environ 750 000 apatrides.
ik/akn/tm
Les assises qui ont appelé les pays à ratifier les deux conventions et à la mise en place d’un comité de suivi, ont, en outre, préconisé cinq autres points.
Il s’agit de prévenir de l’apatridie par l’enregistrement des naissances et le renforcement des systèmes de documentation, les engagements politiques, les partenariats et l’échange d’information, l’identification des apatrides, la protection des apatrides ainsi que les Etats qui doivent identifier les obstacles qui exigent dans leurs législations nationales pour l’acquisition de la nationalité.
Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a exhorté à l’ouverture de cette conférence mercredi à une action concertée des pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique (CEDEAO). Il les a appelés à faire preuve de courage politique, de solidarité et de mobilisation pour redonner leur dignité à ces milliers d’individus sans lien juridique avec aucun pays, et qui sont des cibles potentielles pour des groupes terroristes.
L’espace CEDEAO compte environ 750 000 apatrides.
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