« C’est l’Afrique qui ose et l’Afrique qui gagne. » Voilà l’esprit politique et artistique qui régnait samedi 28 février lors de l’ouverture de la 24e édition du Fespaco au Burkina Faso, à Ouagadougou, capitale du cinéma africain jusqu’au 7 mars. Après la cérémonie au Palais des sports, les 5 000 spectateurs ont apprécié le spectacle… et une certaine liberté retrouvée après la révolution.
« Le premier Fespaco après la révolution, pour moi, cela signifie la renaissance. Après 27 ans de règne et de parades, nous avons une belle vision des choses, la plus modeste possible, sans gaspillage, sans gabegie », réagit Nissa, simple spectateur burkinabè et ravi de l’ambiance bon enfant qui a régné lors de la cérémonie d’ouverture. « On veut que... suite de l'article sur RFI
« Le premier Fespaco après la révolution, pour moi, cela signifie la renaissance. Après 27 ans de règne et de parades, nous avons une belle vision des choses, la plus modeste possible, sans gaspillage, sans gabegie », réagit Nissa, simple spectateur burkinabè et ravi de l’ambiance bon enfant qui a régné lors de la cérémonie d’ouverture. « On veut que... suite de l'article sur RFI