Abidjan - La 17ème édition du Marché international du cinéma africain (MICA), cadre d’échanges entre les acteurs du cinéma, a été officiellement lancé dimanche 1er mars à Ouagadougou, en marge de la 24ème édition du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (FESPACO).
Le marché international du cinéma africain, instauré depuis 1983, est un cadre d’échanges et de rencontres entre producteurs, distributeurs et diffuseurs, qui accompagne le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, dont le clap d’ouverture a été donné samedi.
Cette édition du MICA "se veut exigeant au gré des avancées technologiques du moment. Nous sommes déjà de plain-pied dans l’ère du numérique et le marché du film a une autre alternative que de suivre le rythme du moment au risque de se voir dépasser par le temps", a prévenu le délégué artistique du MICA, Suzanne Kourouma.
Durant six jours, dans l’enceinte du siège du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO), les festivaliers auront à leur disposition des cabines de visionnage individuel afin de découvrir les "merveilles" du cinéma africain.
Pour le ministre en charge du Commerce du Burkina Faso, Hyppolyte Dah, il appartient aux producteurs africains de mettre sur le marché des œuvres de "très belles factures" pour répondre aux exigences du moment.
Il a par ailleurs indiqué que son département "voudrait encourager les (autres) institutions étatiques africaines à accorder de moyens conséquents aux acteurs du cinéma africain".
Placée sous le thème "Cinéma africain: production et diffusion à l’ère du numérique", la 24ème édition du FESPACO, l’un des plus importants festivals de cinéma africain, doit se tenir durant une semaine, du samedi 28 février au samedi 7 mars.
Quelque 12.000 festivaliers, dont 5.000 étrangers, sont attendus dans la capitale burkinabè selon les organisateurs.
(AIB/AIP)
cmas
Le marché international du cinéma africain, instauré depuis 1983, est un cadre d’échanges et de rencontres entre producteurs, distributeurs et diffuseurs, qui accompagne le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou, dont le clap d’ouverture a été donné samedi.
Cette édition du MICA "se veut exigeant au gré des avancées technologiques du moment. Nous sommes déjà de plain-pied dans l’ère du numérique et le marché du film a une autre alternative que de suivre le rythme du moment au risque de se voir dépasser par le temps", a prévenu le délégué artistique du MICA, Suzanne Kourouma.
Durant six jours, dans l’enceinte du siège du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO), les festivaliers auront à leur disposition des cabines de visionnage individuel afin de découvrir les "merveilles" du cinéma africain.
Pour le ministre en charge du Commerce du Burkina Faso, Hyppolyte Dah, il appartient aux producteurs africains de mettre sur le marché des œuvres de "très belles factures" pour répondre aux exigences du moment.
Il a par ailleurs indiqué que son département "voudrait encourager les (autres) institutions étatiques africaines à accorder de moyens conséquents aux acteurs du cinéma africain".
Placée sous le thème "Cinéma africain: production et diffusion à l’ère du numérique", la 24ème édition du FESPACO, l’un des plus importants festivals de cinéma africain, doit se tenir durant une semaine, du samedi 28 février au samedi 7 mars.
Quelque 12.000 festivaliers, dont 5.000 étrangers, sont attendus dans la capitale burkinabè selon les organisateurs.
(AIB/AIP)
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