Abengourou - Des chefs de communautés de la commune d’Abengourou ont été sensibilisés, mardi, sur l’assistance judiciaire, dans le cadre du programme pour le renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire (ProJustice) financé par l’organisme américain, USAID.
Le coordonnateur de ProJustice, Me Traoré Drissa, qui a animé cette séance de sensibilisation, rappelé que l’assistance judiciaire a été instituée en Côte d’Ivoire en 1972, tout en précisant les conditions pour en bénéficier.
Selon lui, il faut être une personne sans grands moyens financiers pour être éligible à l’assistance judiciaire en Côte d’Ivoire.
"Ce matin (mardi), nous avons expliqué aux chefs de communautés ethniques et religieuses que l’assistance judiciaire existe et que les personnes qui n’ont pas les moyens pour supporter les frais de justice peuvent y avoir recours en faisant une demande au procureur de la République", a-t-il indiqué à la presse à l’issue de la rencontre.
Le coordonnateur a dit avoir chargé ces leaders religieux et communautaires de divulguer ce message auprès de leurs communautés respectives, avant de lancer un appel à toutes les personnes ne disposant pas de moyens financiers à saisir cette "aubaine" pour faire valoir leur droit à la justice.
"L’assistance judiciaire, lorsqu’elle vous est accordée, vous donne droit à un avocat gratuitement. En outre, vous êtes exonérés de tous les frais qui sont payés au tribunal", a-t-il expliqué, incitant davantage les populations à recourir à ce mécanisme mis en place par l’Etat de Côte d’Ivoire pour aider les personnes qui n’ont pas les moyens à régler leurs problèmes de justice.
En marge de cette séance de sensibilisation, un registre a été remis au procureur de la République près le tribunal de première instance d’Abengourou, Koné Braman, pour enregistrer les éventuelles demandes pour une assistance judiciaire.
Rkk/kp
Le coordonnateur de ProJustice, Me Traoré Drissa, qui a animé cette séance de sensibilisation, rappelé que l’assistance judiciaire a été instituée en Côte d’Ivoire en 1972, tout en précisant les conditions pour en bénéficier.
Selon lui, il faut être une personne sans grands moyens financiers pour être éligible à l’assistance judiciaire en Côte d’Ivoire.
"Ce matin (mardi), nous avons expliqué aux chefs de communautés ethniques et religieuses que l’assistance judiciaire existe et que les personnes qui n’ont pas les moyens pour supporter les frais de justice peuvent y avoir recours en faisant une demande au procureur de la République", a-t-il indiqué à la presse à l’issue de la rencontre.
Le coordonnateur a dit avoir chargé ces leaders religieux et communautaires de divulguer ce message auprès de leurs communautés respectives, avant de lancer un appel à toutes les personnes ne disposant pas de moyens financiers à saisir cette "aubaine" pour faire valoir leur droit à la justice.
"L’assistance judiciaire, lorsqu’elle vous est accordée, vous donne droit à un avocat gratuitement. En outre, vous êtes exonérés de tous les frais qui sont payés au tribunal", a-t-il expliqué, incitant davantage les populations à recourir à ce mécanisme mis en place par l’Etat de Côte d’Ivoire pour aider les personnes qui n’ont pas les moyens à régler leurs problèmes de justice.
En marge de cette séance de sensibilisation, un registre a été remis au procureur de la République près le tribunal de première instance d’Abengourou, Koné Braman, pour enregistrer les éventuelles demandes pour une assistance judiciaire.
Rkk/kp