Près de 3000 prisonniers ivoiriens ont été libérés dans le cadre de l’exécution d’une grâce présidentielle collective, a annoncé, mercredi soir, le garde de sceaux, ministre de la justice, des droits de l’homme et des libertés publiques, Gnénéma Mamadou Coulibaly.
« A ce jour près de 3000 prisonniers bénéficiant de la grâce présidentielle ont été libérés », a déclaré le ministre Coulibaly dans un entretien à APA, en marge du Conseil des ministres présidé par le Chef de l'Etat Alassane Ouattara à San-Pédro, la deuxième ville portuaire du pays.
Selon lui, « ce dossier a été traité avec beaucoup de minutie et d'indépendance ». Cette mise en liberté de quelque 3000 détenus bénéficiant d'une «grâce présidentielle collective» et de «réduction de peine» annoncée début février, a été retardée par une grève des gardes pénitentiaires.
Il s'agit des détenus ne présentant aucune dangerosité pour la société et de détenus condamnés à de longues peines mais à qui il reste quatre ans à purger.
« Les détenus de la crise poste électorale ne sont pas concernés ainsi que les infractions militaires », a précisé le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné.
LS/APA
« A ce jour près de 3000 prisonniers bénéficiant de la grâce présidentielle ont été libérés », a déclaré le ministre Coulibaly dans un entretien à APA, en marge du Conseil des ministres présidé par le Chef de l'Etat Alassane Ouattara à San-Pédro, la deuxième ville portuaire du pays.
Selon lui, « ce dossier a été traité avec beaucoup de minutie et d'indépendance ». Cette mise en liberté de quelque 3000 détenus bénéficiant d'une «grâce présidentielle collective» et de «réduction de peine» annoncée début février, a été retardée par une grève des gardes pénitentiaires.
Il s'agit des détenus ne présentant aucune dangerosité pour la société et de détenus condamnés à de longues peines mais à qui il reste quatre ans à purger.
« Les détenus de la crise poste électorale ne sont pas concernés ainsi que les infractions militaires », a précisé le porte-parole du gouvernement Bruno Nabagné Koné.
LS/APA