Abidjan – L’introduction des équipements de calibrage de riz dans les rizeries de la Vallée du Fleuve Sénégal, à travers le Projet d’amélioration de la productivité du riz (PAPRIZ), a résolu le problème de la qualité du riz, a selon le coordinateur du projet, Djibril Guèye.
L’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) ''a fait un grand pas avec le PAPRIZ, à travers ses équipements de triage. Le résultat a été constaté partout, que cela soit chez le consommateur, chez les producteurs qui ont apprécié ce phénomène de transformation’’, a t-il dit lors de la tournée de presse annuelle de la JICA du 3 au 5 mars dans la région de Saint Louis.
Selon lui, grâce aux équipements de la JICA, ‘’d’ici peu le problème du riz sénégalais de qualité moindre sera résolu, grâce aux éléments de triage du projet PAPRIZ’’ financé à 80% par la coopération japonaise.
Il a rappelé que des enquêtes ont été faites auparavant sur le riz local produit qui manquait d’homogénéité. ''Donc il fallait que le calibrage se fasse de manière homogène. Ce que le PAPRIZ a pu résoudre avec deux équipements de calibrage fournis à 21 rizeries de la Vallée du Fleuve Sénégal’', a-t-il précisé.
De plus, Djibril Guàye a rappelé que le projet PAPRIZ a en outre mis en œuvre de 2011 à 2014 une série de programmes de renforcement des capacités axés sur les techniques adéquates de gestion de l’eau d’irrigation et de gestion agricole au profit des agriculteurs.
‘’La commercialisation du riz de la Vallée a connu une hausse de 40 à 45% depuis l’amélioration de la qualité du paddy (…). En moins de deux mois, nous sommes arrivés à commercialiser plus de 2600 tonnes de riz de qualité’’, a expliqué le président directeur de la rizerie CNT, Ibrahima Sall.
(APS/AIP)
cmas
L’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) ''a fait un grand pas avec le PAPRIZ, à travers ses équipements de triage. Le résultat a été constaté partout, que cela soit chez le consommateur, chez les producteurs qui ont apprécié ce phénomène de transformation’’, a t-il dit lors de la tournée de presse annuelle de la JICA du 3 au 5 mars dans la région de Saint Louis.
Selon lui, grâce aux équipements de la JICA, ‘’d’ici peu le problème du riz sénégalais de qualité moindre sera résolu, grâce aux éléments de triage du projet PAPRIZ’’ financé à 80% par la coopération japonaise.
Il a rappelé que des enquêtes ont été faites auparavant sur le riz local produit qui manquait d’homogénéité. ''Donc il fallait que le calibrage se fasse de manière homogène. Ce que le PAPRIZ a pu résoudre avec deux équipements de calibrage fournis à 21 rizeries de la Vallée du Fleuve Sénégal’', a-t-il précisé.
De plus, Djibril Guàye a rappelé que le projet PAPRIZ a en outre mis en œuvre de 2011 à 2014 une série de programmes de renforcement des capacités axés sur les techniques adéquates de gestion de l’eau d’irrigation et de gestion agricole au profit des agriculteurs.
‘’La commercialisation du riz de la Vallée a connu une hausse de 40 à 45% depuis l’amélioration de la qualité du paddy (…). En moins de deux mois, nous sommes arrivés à commercialiser plus de 2600 tonnes de riz de qualité’’, a expliqué le président directeur de la rizerie CNT, Ibrahima Sall.
(APS/AIP)
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