Les derniers réglages pour le démarrage du Programme national de développement communautaire (Pndc) ont été effectués, du 22 au 28 février, au siège dudit programme, aux II Plateaux. Une mission de la Banque islamique de développement (Bid), bailleurs de fonds du programme, a, en effet, eu plusieurs séances de travail avec les responsables du Pndc.
« Il s’est agi de l’examen et de l’évaluation des progrès de la mise en œuvre physique et financière des composantes du projets et des rapports d’avancements fournis par l’unité de gestion des projets. Mais surtout de l’identification et de la résolution des contraintes et des questions en instances, et la résolution attendue de la Bid. Enfin, la revue et la mise à jour des plans de décaissements et de passation des marchés, et du respect des exigences de l’audit », a relevé le coordonnateur du Pndc, Dr. Messan Fulgence. Car, comme l’a souligné le chef de mission de la Bid, Ibrahima Touré, la banque est très exigeante sur les principes de la finance islamique qui interdit des activités jugées immorales. Notamment, les taux d’intérêts dans les prêts, le financement d’activités prohibées par l’Islam dont les jeux de hasard, l’alcool, les discothèques, la vente de porc etc. « Pour nous, il s’agit d’aider les pauvres à faire du business, à sortir de la pauvreté en partageant avec eux les risques », a-t-il expliqué.
Bruno KOUADIO
« Il s’est agi de l’examen et de l’évaluation des progrès de la mise en œuvre physique et financière des composantes du projets et des rapports d’avancements fournis par l’unité de gestion des projets. Mais surtout de l’identification et de la résolution des contraintes et des questions en instances, et la résolution attendue de la Bid. Enfin, la revue et la mise à jour des plans de décaissements et de passation des marchés, et du respect des exigences de l’audit », a relevé le coordonnateur du Pndc, Dr. Messan Fulgence. Car, comme l’a souligné le chef de mission de la Bid, Ibrahima Touré, la banque est très exigeante sur les principes de la finance islamique qui interdit des activités jugées immorales. Notamment, les taux d’intérêts dans les prêts, le financement d’activités prohibées par l’Islam dont les jeux de hasard, l’alcool, les discothèques, la vente de porc etc. « Pour nous, il s’agit d’aider les pauvres à faire du business, à sortir de la pauvreté en partageant avec eux les risques », a-t-il expliqué.
Bruno KOUADIO