Sikensi – Le présumé trafiquant d’organes humains découvert avec des restes humains dans le courant du mois de février, a été entendu par le chef central de Sikensi.
Et ce, sur convocation du chef central de la localité, Sassou Antoine, qui tenait à la demande des villageois, à obtenir du concerné, le transporteur Adebessi Ezechiel, des informations au sujet de cette affaire macabre ayant fait la Une de certains journaux nationaux, lors d’une réunion tenue lundi.
La première autorité coutumière de la ville, indignée à l’instar des représentants de toutes les forces vives de sa communauté, dont une frange importante de la jeunesse présente sur les lieux de cette rencontre matinale, a exigé du mis en cause des explications convaincantes afin d’éclairer l’assistance.
Etant donné la tournure rocambolesque de l’affaire, cela semble conférer aux Abidji l’image d’un peuple qui « héberge » des trafiquants d’organes humains, indique-t-on.
Le mis en cause, selon les proches de la chefferie locale, a séance tenante nié tous les faits à lui reprochés et informé le public des démarches entreprises à ses propres frais auprès des autorités de sikensi (préfet) et d’Abidjan (Palais de justice du plateau, police nationale), ainsi qu’auprès des journaux l’ayant accusé à tort.
L’affaire est encore pendante à la justice, a souligné le mis en cause.
Après l’audition du présumé commerçant de la chair humaine, le chef Sassou Antoine a appelé ses administrés au calme, les invitant attendre le verdict de la justice, a rapporté un fils du village.
Plusieurs organes de presse avaient annoncé, le 05 février, que des policiers venus d’Abidjan sur indication, ont fait une « découverte macabre d’un crâne et d’un sexe masculin séchés » le 03 février au domicile du transporteur Adebessi Ezechiel.
(AIP)
km/kkf/cmas
Et ce, sur convocation du chef central de la localité, Sassou Antoine, qui tenait à la demande des villageois, à obtenir du concerné, le transporteur Adebessi Ezechiel, des informations au sujet de cette affaire macabre ayant fait la Une de certains journaux nationaux, lors d’une réunion tenue lundi.
La première autorité coutumière de la ville, indignée à l’instar des représentants de toutes les forces vives de sa communauté, dont une frange importante de la jeunesse présente sur les lieux de cette rencontre matinale, a exigé du mis en cause des explications convaincantes afin d’éclairer l’assistance.
Etant donné la tournure rocambolesque de l’affaire, cela semble conférer aux Abidji l’image d’un peuple qui « héberge » des trafiquants d’organes humains, indique-t-on.
Le mis en cause, selon les proches de la chefferie locale, a séance tenante nié tous les faits à lui reprochés et informé le public des démarches entreprises à ses propres frais auprès des autorités de sikensi (préfet) et d’Abidjan (Palais de justice du plateau, police nationale), ainsi qu’auprès des journaux l’ayant accusé à tort.
L’affaire est encore pendante à la justice, a souligné le mis en cause.
Après l’audition du présumé commerçant de la chair humaine, le chef Sassou Antoine a appelé ses administrés au calme, les invitant attendre le verdict de la justice, a rapporté un fils du village.
Plusieurs organes de presse avaient annoncé, le 05 février, que des policiers venus d’Abidjan sur indication, ont fait une « découverte macabre d’un crâne et d’un sexe masculin séchés » le 03 février au domicile du transporteur Adebessi Ezechiel.
(AIP)
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