Agnès Monnet, la secrétaire générale du Front populaire ivoirien (Fpi), représentera son parti à la 59ème session de la Commission de la condition de la femme de l’Onu qui s’est ouverte hier, lundi 9 mars, au siège des Nations unies à New York, aux Etats-Unis d’Amérique.
La secrétaire générale du Fpi devait avoir pris son vol dans la nuit de dimanche à destination de New York.
La Commission de la condition de la femme est le principal organe inter-gouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes. Elle a été créée par la résolution 11 (II) du Conseil de sécurité du 21 juin 1946.
La 59ème session, qui se déroule du 9 au 20 mars 2015, coïncide avec les vingt ans de la Déclaration de Bejin. A cette occasion, sera lancé le bilan officiel des engagements pris en faveur de la femme à l’occasion de la Conférence de Bejin en 1995.
C’est à cette rencontre historique que le Front populaire ivoirien est invité à prendre part. Mme Agnès Monnet y fera entendre, à coup sûr, pas seulement la voix des femmes du Fpi, mais aussi celle des femmes d’une Côte d’Ivoire qui a connu la rébellion et une féroce crise postélectorale qui a négativement impacté la condition de la femme.
Augustin KOUYO
La secrétaire générale du Fpi devait avoir pris son vol dans la nuit de dimanche à destination de New York.
La Commission de la condition de la femme est le principal organe inter-gouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes. Elle a été créée par la résolution 11 (II) du Conseil de sécurité du 21 juin 1946.
La 59ème session, qui se déroule du 9 au 20 mars 2015, coïncide avec les vingt ans de la Déclaration de Bejin. A cette occasion, sera lancé le bilan officiel des engagements pris en faveur de la femme à l’occasion de la Conférence de Bejin en 1995.
C’est à cette rencontre historique que le Front populaire ivoirien est invité à prendre part. Mme Agnès Monnet y fera entendre, à coup sûr, pas seulement la voix des femmes du Fpi, mais aussi celle des femmes d’une Côte d’Ivoire qui a connu la rébellion et une féroce crise postélectorale qui a négativement impacté la condition de la femme.
Augustin KOUYO