Abidjan - Les policiers municipaux de Côte d’Ivoire ont exprimé, mercredi, à Abidjan leur gratitude au président Alassane Ouattara pour avoir doté leur corporation d’un cadre juridique.
Ils l’ont fait savoir lors d’un point de presse au cours duquel ils ont affirmé leur attachement et leur soutien indéfectible au programme de société du président Ouattara visant, à l’horizon 2020, l’émergence de la Côte d’Ivoire.
Les policiers municipaux sollicitent une grande rencontre d’échange et de communion avec le chef de l’Etat dans le cadre d’une journée historique d’hommage et de soutien à ses actions.
Selon le secrétaire général du syndicat national des policiers municipaux de Côte d’Ivoire (SYNAPOMUCI), Dominique Ligué, le président Alassane Ouattara, en signant le 18 février dernier le décret portant organisation et reconnaissance officielle de la police municipale, a posé un acte historique dans les collectivités territoriales en général et en particulier, pour eux les policiers municipaux.
Car, a-t-il soutenu, malgré l’existence du cadre institutionnel, les gardes municipaux n’ont jamais bénéficié d’un cadre juridique qui réglemente et professionnalise leur emploi, ce qui donnait libre champs aux maires d’abuser d’eux.
(AIP)
sdaf/ask
Ils l’ont fait savoir lors d’un point de presse au cours duquel ils ont affirmé leur attachement et leur soutien indéfectible au programme de société du président Ouattara visant, à l’horizon 2020, l’émergence de la Côte d’Ivoire.
Les policiers municipaux sollicitent une grande rencontre d’échange et de communion avec le chef de l’Etat dans le cadre d’une journée historique d’hommage et de soutien à ses actions.
Selon le secrétaire général du syndicat national des policiers municipaux de Côte d’Ivoire (SYNAPOMUCI), Dominique Ligué, le président Alassane Ouattara, en signant le 18 février dernier le décret portant organisation et reconnaissance officielle de la police municipale, a posé un acte historique dans les collectivités territoriales en général et en particulier, pour eux les policiers municipaux.
Car, a-t-il soutenu, malgré l’existence du cadre institutionnel, les gardes municipaux n’ont jamais bénéficié d’un cadre juridique qui réglemente et professionnalise leur emploi, ce qui donnait libre champs aux maires d’abuser d’eux.
(AIP)
sdaf/ask