Agboville - La directrice régionale de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (MSFFE) de l’Agnéby-Tiassa a insisté mercredi, lors de la célébration de la Journée internationale de la femme à Agboville, sur la lutte contre la mortalité maternelle et infantile comme étant l’un des trois problèmes majeurs retenant l’attention de la tutelle au niveau de l’accès de la femme à la santé.
Selon Mme N’Doua Gisèle, malgré la gratuité ciblée en 2014, le taux de décès maternels reste encore élevé, avec 614 décès pour 100.000 naissances vivantes, en hausse de 71 points selon l’enquête de démographie et de santé, a-t-elle fait savoir Madame la directrice régionale dans son intervention.
Elle a également déploré la forte progression des cas de cancers du col de l’utérus et du sein, avec de façon générale 15.000 nouveaux cas détectés chaque année, pour une incidence de 98% pour la femme.
La directrice régionale de la Femme a évoqué comme troisième défi, la féminisation du VIH/Sida en 2014 où au niveau de la prévalence nationale, 4,6% concerne la femme et 2,6% chez l’homme.
Ces annonces s’inscrivent dans la présentation du bilan en matière de santé par rapport aux engagements pris par l’Etat ivoirien après la Conférence mondiale sur les femmes qui a eu lieu à Beijing, en Chine, en 1995.
Dd/kp
Selon Mme N’Doua Gisèle, malgré la gratuité ciblée en 2014, le taux de décès maternels reste encore élevé, avec 614 décès pour 100.000 naissances vivantes, en hausse de 71 points selon l’enquête de démographie et de santé, a-t-elle fait savoir Madame la directrice régionale dans son intervention.
Elle a également déploré la forte progression des cas de cancers du col de l’utérus et du sein, avec de façon générale 15.000 nouveaux cas détectés chaque année, pour une incidence de 98% pour la femme.
La directrice régionale de la Femme a évoqué comme troisième défi, la féminisation du VIH/Sida en 2014 où au niveau de la prévalence nationale, 4,6% concerne la femme et 2,6% chez l’homme.
Ces annonces s’inscrivent dans la présentation du bilan en matière de santé par rapport aux engagements pris par l’Etat ivoirien après la Conférence mondiale sur les femmes qui a eu lieu à Beijing, en Chine, en 1995.
Dd/kp