Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique Gnamien Konan, a eu une rencontre ce jeudi avec les enseignants grévistes de l’université Alassane Ouattara à Bouaké, précisément au campus 1 de l’établissement. Selon les informations qui nous sont parvenues, le ministre a été retenu de force à un parking par des étudiants mécontents, qui auraient exigé une rencontre avec lui. Une version démentie par une source au sein dudit ministère. « Le ministre Gnamien Konan a simplement été interpellé par les étudiants, qui, informés de sa venue ont simplement demandé à s’entretenir avec lui, afin de lui soumettre leurs préoccupations. Il n’a pas été question de force ou de violence » a affirmé notre interlocuteur. Professeur Tro, secrétaire de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs (Cnec, section Bouaké) n’a quant à lui ni confirmé ni infirmé l’information.
« Avant de nous rencontrer, le ministre a reçu les étudiants, pour une raison qui m’est méconnue », a-t-il expliqué avant d’ajouter que : « Après la rencontre qu’il a tenue avec nous, chacun est rentré chez lui, je ne saurai dire ce qui s’est passé par la suite », a confié le professeur. Mais selon l’Aip, ce sont quelques centaines d’étudiants se réclamant de diverses associations qui ont manifesté, ce jeudi, à Bouaké, contre le ministre de tutelle, l’empêchant de descendre de son véhicule, pendant un moment, pour exprimer leur mécontentement face aux divers problèmes auxquels ils sont confrontés. Toujours d’après l’Aip, il a fallu l’intervention et la médiation de la police et des responsables administratifs pour apaiser les esprits. Gnamien Konan a donc eu une rencontre d’échange avec les responsables des associations des étudiants. Ceux-ci dénoncent, rapporte l’agence de presse étatique, la lenteur des travaux de réhabilitation du campus 1, l’arrêt des cours pour motif de grève des enseignants, le non paiement des bourses, l’absence de Wifi sur les campus, et demandent l’ouverture des cités universitaires, fermées pour des travaux de réhabilitation. Les manifestants surexcités sur le campus 1, se réclamaient, entre autres de l’association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (Ageeci), l’Union nationale estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Unesci), le Comité des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (Ceeci) et la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci). Depuis deux semaines les enseignants de l’université Alassane Ouattara observent un arrêt de travail pour réclamer le paiement des arriérées de diverses primes.
RT et MT (stagiaire)
« Avant de nous rencontrer, le ministre a reçu les étudiants, pour une raison qui m’est méconnue », a-t-il expliqué avant d’ajouter que : « Après la rencontre qu’il a tenue avec nous, chacun est rentré chez lui, je ne saurai dire ce qui s’est passé par la suite », a confié le professeur. Mais selon l’Aip, ce sont quelques centaines d’étudiants se réclamant de diverses associations qui ont manifesté, ce jeudi, à Bouaké, contre le ministre de tutelle, l’empêchant de descendre de son véhicule, pendant un moment, pour exprimer leur mécontentement face aux divers problèmes auxquels ils sont confrontés. Toujours d’après l’Aip, il a fallu l’intervention et la médiation de la police et des responsables administratifs pour apaiser les esprits. Gnamien Konan a donc eu une rencontre d’échange avec les responsables des associations des étudiants. Ceux-ci dénoncent, rapporte l’agence de presse étatique, la lenteur des travaux de réhabilitation du campus 1, l’arrêt des cours pour motif de grève des enseignants, le non paiement des bourses, l’absence de Wifi sur les campus, et demandent l’ouverture des cités universitaires, fermées pour des travaux de réhabilitation. Les manifestants surexcités sur le campus 1, se réclamaient, entre autres de l’association générale des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (Ageeci), l’Union nationale estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Unesci), le Comité des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (Ceeci) et la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci). Depuis deux semaines les enseignants de l’université Alassane Ouattara observent un arrêt de travail pour réclamer le paiement des arriérées de diverses primes.
RT et MT (stagiaire)