En prélude à la Conférence Internationale sur l’Emergence de l’Afrique(CIEA) qui se tiendra du 18 au mars prochain, le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Dr Mabri Toikeusse et M. Babacar Cissé, le Coordonnateur-résident des Nations Unies et Représentant-résident du Programme des Nations Unies pour le Développement(PNUD) étaient face à la presse, le 12 mars, pour en présenter les enjeux. Organisée par la Côte d’Ivoire en collaboration avec le PNUD et en partenariat avec la Banque mondiale et la Banque africaine de développement(BAD), cette conférence dont l’ouverture sera présidée par le Chef de l’Etat SEM Alassane Ouattara ambitionne de réunir des Chefs d’Etats et de Gouvernements, des praticiens du développement issus de l’administration publique, du secteur privé, de la société civile, du monde universitaire, autour de la problématique de l’émergence de pays africains.
Dans un contexte international marqué par une nette progression des économies africaines, championnes de croissance forte, cette conférence représente une aubaine pour les Etats africains en tant que cadre pour s’inspirer des modèles de développement qui ont fait leurs preuves ailleurs, a assuré le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement.
Loin d’être un rendez-vous pour décider de reproduire des modèles de développement des pays émergents, cette conférence est plutôt un lieu d’échanges et de dialogues pour s’inspirer des meilleures pratiques et les adapter aux pays africains, a précisé le ministre Albert Mabri Toikeusse.
« Il n’y a pas de panacée en la matière », a renchéri de son côté de Babacar Cissé, soutenant qu’il ne s’agit pas d’imposer des modèles mais d’analyser les réformes à mettre en œuvre en tirant les leçons des réussites pour les pays africains qui a-t-il ajouté, « ont pris leurs responsabilités ».
Il a fait savoir que le PNUD accompagne cette conférence qui réunit pour la première fois pays émergents et pays en quête d’émergence par le fait que l’organisation spécialisée des Nations Unies juge important de mettre l’accent sur la nécessité de faire reculer la pauvreté dans le contexte de la hausse de la croissance dans la plupart des pays africains.
Mais cette conférence ne sera pas une conférence comme les autres, a insisté le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, rassurant que les recommandations qui en seront issues feront l’objet d’un suivi qui permettra de mesurer leur impact sur le développement des Etats africains engagés dans la marche vers l’émergence.
Cette émergence projetée des pays africains n’est pas une chimère mais est réalisable sur la base d’un faisceau d’indices concrets, tels que la forte croissance accompagnée d’une réduction de la pauvreté, la lutte contre le chômage, la mise en œuvre de réformes, entre autres.
Pour ce qui est spécifique à la Côte d’Ivoire, le ministre d’Etat Mabri Toikeusse a signifié que l’émergence voulue par les autorités s’appuie sur une croissance inclusive et bénéficie d’un « solide leadership » du Chef de l’Etat dans un pays qui entend exploiter tout son potentiel non encore suffisamment exploré.
En tant que rendez-vous d’échanges, la Conférence d’Abidjan sur l’émergence sera, à l’en croire, une « belle opportunité » pour bâtir un partenariat susceptible d’accélérer l’atteinte de l’émergence des Etats africains en renforçant la coopération entre eux.
Prévue sur trois jours, la Conférence internationale sur l’émergence sera articulée autour de thématiques dont l’objectif est d’aboutir à terme à un rapprochement des points de vue des décideurs et experts au sujet des moteurs et des facteurs clés de réussite d’un développement inclusif, d’une transformation structurelle et durable de l’Afrique; une meilleure connaissance des dynamiques de la transformation économique et sociale intervenue dans les pays émergents, entre autres.
Dans un contexte international marqué par une nette progression des économies africaines, championnes de croissance forte, cette conférence représente une aubaine pour les Etats africains en tant que cadre pour s’inspirer des modèles de développement qui ont fait leurs preuves ailleurs, a assuré le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement.
Loin d’être un rendez-vous pour décider de reproduire des modèles de développement des pays émergents, cette conférence est plutôt un lieu d’échanges et de dialogues pour s’inspirer des meilleures pratiques et les adapter aux pays africains, a précisé le ministre Albert Mabri Toikeusse.
« Il n’y a pas de panacée en la matière », a renchéri de son côté de Babacar Cissé, soutenant qu’il ne s’agit pas d’imposer des modèles mais d’analyser les réformes à mettre en œuvre en tirant les leçons des réussites pour les pays africains qui a-t-il ajouté, « ont pris leurs responsabilités ».
Il a fait savoir que le PNUD accompagne cette conférence qui réunit pour la première fois pays émergents et pays en quête d’émergence par le fait que l’organisation spécialisée des Nations Unies juge important de mettre l’accent sur la nécessité de faire reculer la pauvreté dans le contexte de la hausse de la croissance dans la plupart des pays africains.
Mais cette conférence ne sera pas une conférence comme les autres, a insisté le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, rassurant que les recommandations qui en seront issues feront l’objet d’un suivi qui permettra de mesurer leur impact sur le développement des Etats africains engagés dans la marche vers l’émergence.
Cette émergence projetée des pays africains n’est pas une chimère mais est réalisable sur la base d’un faisceau d’indices concrets, tels que la forte croissance accompagnée d’une réduction de la pauvreté, la lutte contre le chômage, la mise en œuvre de réformes, entre autres.
Pour ce qui est spécifique à la Côte d’Ivoire, le ministre d’Etat Mabri Toikeusse a signifié que l’émergence voulue par les autorités s’appuie sur une croissance inclusive et bénéficie d’un « solide leadership » du Chef de l’Etat dans un pays qui entend exploiter tout son potentiel non encore suffisamment exploré.
En tant que rendez-vous d’échanges, la Conférence d’Abidjan sur l’émergence sera, à l’en croire, une « belle opportunité » pour bâtir un partenariat susceptible d’accélérer l’atteinte de l’émergence des Etats africains en renforçant la coopération entre eux.
Prévue sur trois jours, la Conférence internationale sur l’émergence sera articulée autour de thématiques dont l’objectif est d’aboutir à terme à un rapprochement des points de vue des décideurs et experts au sujet des moteurs et des facteurs clés de réussite d’un développement inclusif, d’une transformation structurelle et durable de l’Afrique; une meilleure connaissance des dynamiques de la transformation économique et sociale intervenue dans les pays émergents, entre autres.