Une cérémonie officielle de lancement d’un Projet « West African Virus Epidemology » (WAVE), financé par Bill & Melinda Gates Foundation en faveur du département de Recherche de l’Université Félix Houphouët Boigny (UFHB), s’est tenue le lundi 16 mars 2015, à l’amphithéâtre du District de l’UFHB en présence du représentant du ministre de l’Enseignement et de Recherche Supérieur, le Professeur Bertand M’Batchi.
L’objectif primaire de ce projet de Recherche scientifique, WAVE dont les partenaires sont les universités de Recherche de Rothamsted et de Cambridge du Royaume-Uni, est l’augmentation de façon durale de la production des plantes à tubercules en milieu paysan dans six pays ouest africains (Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria, Burkina-Faso, Benin, Togo).
La nécessité de prendre des mesures préventives pour protéger la production de manioc, la sécurité alimentaire et les vies humaines en Afrique de l’ouest se justifie par l’épidémie de la maladie de la striure brune du manioc (CBSD) qui dévaste les plantations de manioc en Afrique de l’Est depuis quelques années.
Considérant qu’au Nigeria, un pays d’environ 170 millions d’habitants, le manioc est l’une des plus importantes cultures de subsistance, si une épidémie de CSBD se déclare dans ce pays, les dégâts seront incalculables pour toute la sous-région, car elle provoquerait une pénurie alimentaire, une famine et un chao sans précédent.
Heureusement, ce virus n’a pas été détecté à ce jour en Afrique de l’ouest. WAVE voudrait alors saisir cette opportunité pour agir et empêcher son introduction ou sa propagation dans la sous-région en contribuant au développement de meures proactives d’intervention contre la propagation du CBSD.
Fort de cela, « le Secrétariat général du CAMES , en ma personne saisit avec empressement cette opportunité, pour s’associer avec gratitude aux autorités académiques, scientifiques et politiques de la Côte d’Ivoire, et applaudir des deux mains, le bienfaiteur, le Fondation Bill et Melinda Gates, qui va permettre aux enseignants chercheurs et chercheurs des pays sélectionnés et ceux de l’espace CAMES en général, d’apporter des solutions à la problématique de production de plants à tubercules dans cette zone du continent Africain » a déclaré le Docteur Pita Justin, Coordonnateur du projet WAVE.
Selon le représentant du ministre de l’Enseignement et de Recherche Supérieur, le Professeur Bertrand M’Batchi, la Recherche mobilise 30% du PIB et 40% des recettes du pays pour que les chercheurs soient autonomes et possèdent le savoir-faire afin d’assurer la sécurité alimentaire en Afrique.
« Ma présence témoigne l’intérêt du gouvernement face à la question de la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ce pourquoi, nous nous inscrivons dans cette nouvelle dynamique qui est de mutualiser nos efforts en matière de Recherche scientifique » a indiqué le Professeur Bertrand M’Batchi.
JOB ATTEMENE
L’objectif primaire de ce projet de Recherche scientifique, WAVE dont les partenaires sont les universités de Recherche de Rothamsted et de Cambridge du Royaume-Uni, est l’augmentation de façon durale de la production des plantes à tubercules en milieu paysan dans six pays ouest africains (Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria, Burkina-Faso, Benin, Togo).
La nécessité de prendre des mesures préventives pour protéger la production de manioc, la sécurité alimentaire et les vies humaines en Afrique de l’ouest se justifie par l’épidémie de la maladie de la striure brune du manioc (CBSD) qui dévaste les plantations de manioc en Afrique de l’Est depuis quelques années.
Considérant qu’au Nigeria, un pays d’environ 170 millions d’habitants, le manioc est l’une des plus importantes cultures de subsistance, si une épidémie de CSBD se déclare dans ce pays, les dégâts seront incalculables pour toute la sous-région, car elle provoquerait une pénurie alimentaire, une famine et un chao sans précédent.
Heureusement, ce virus n’a pas été détecté à ce jour en Afrique de l’ouest. WAVE voudrait alors saisir cette opportunité pour agir et empêcher son introduction ou sa propagation dans la sous-région en contribuant au développement de meures proactives d’intervention contre la propagation du CBSD.
Fort de cela, « le Secrétariat général du CAMES , en ma personne saisit avec empressement cette opportunité, pour s’associer avec gratitude aux autorités académiques, scientifiques et politiques de la Côte d’Ivoire, et applaudir des deux mains, le bienfaiteur, le Fondation Bill et Melinda Gates, qui va permettre aux enseignants chercheurs et chercheurs des pays sélectionnés et ceux de l’espace CAMES en général, d’apporter des solutions à la problématique de production de plants à tubercules dans cette zone du continent Africain » a déclaré le Docteur Pita Justin, Coordonnateur du projet WAVE.
Selon le représentant du ministre de l’Enseignement et de Recherche Supérieur, le Professeur Bertrand M’Batchi, la Recherche mobilise 30% du PIB et 40% des recettes du pays pour que les chercheurs soient autonomes et possèdent le savoir-faire afin d’assurer la sécurité alimentaire en Afrique.
« Ma présence témoigne l’intérêt du gouvernement face à la question de la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ce pourquoi, nous nous inscrivons dans cette nouvelle dynamique qui est de mutualiser nos efforts en matière de Recherche scientifique » a indiqué le Professeur Bertrand M’Batchi.
JOB ATTEMENE