Divo – Le député de la sous-préfecture de Divo, N’Guessan Denis, a encouragé vendredi les villageois de Data, à 10 km de Divo, à engager la procédure d’acquisition du certificat foncier.
"Il s’agit d’un document inattaquable qui vous met à l’abri pour toujours", a indiqué le député, invité des populations dans le cadre de sa politique d’explication des décisions parlementaires.
M. N’Guessan a notamment conseillé à ceux qui redoutent le coût de l’opération de se regrouper pour faciliter le travail des experts habilités à la tâche.
Le parlementaire a indiqué que la nouvelle loi donne jusqu’en 2024 aux exploitants et propriétaires de parcelles de terre pour acquérir le document requis, faute de quoi, la terre retombera dans le domaine public.
"Ne vous laissez pas abuser. Seul un géomètre-expert est habilité à procéder à la délimitation des parcelles. Il travaille en collaboration avec le comité villageois de gestion du foncier et le corps préfectoral. Toute autre procédure vous fera perdre inutilement de l’argent", a-t-il affirmé, mettant en garde contre la propension des villageois à s’en remettre systématiquement à la gendarmerie en cas de litige.
Au nom des populations de Data, Sévérin Miako s’est félicité des explications fournies aux populations, "car trop de sang a coulé à Data pour des problèmes de terre faute de lecture appropriée de la loi en vigueur", a-t-il ajouté.
Selon le porte-parole des villageois, depuis que la loi sur le foncier rural a été votée en 1998 et révisée récemment, aucun sachant n’est arrivé ici à Data expliquer aux populations la procédure à suivre pour acquérir le titre foncier.
"Aujourd’hui, nous sommes comblés et nous espérons que d’autres personnes viendront pour éclairer d’éventuelles zones d’ombre", a dit M. Miako.
Le député de la sous-préfecture de Divo profite de ses vacances parlementaires pour rencontrer le maximum de populations pour les tenir informées de ce qui se décide pour elles à l’hémicycle.
"Notre mandat n’a pas de sens si nos mandants ne savent même pas ce que nous avons fait tout ce temps. Je préfère sacrifier mes voyages en Europe pour rester à leur contact", a déclaré M. N’Guessan Denis.
(AIP)
gso/kp
"Il s’agit d’un document inattaquable qui vous met à l’abri pour toujours", a indiqué le député, invité des populations dans le cadre de sa politique d’explication des décisions parlementaires.
M. N’Guessan a notamment conseillé à ceux qui redoutent le coût de l’opération de se regrouper pour faciliter le travail des experts habilités à la tâche.
Le parlementaire a indiqué que la nouvelle loi donne jusqu’en 2024 aux exploitants et propriétaires de parcelles de terre pour acquérir le document requis, faute de quoi, la terre retombera dans le domaine public.
"Ne vous laissez pas abuser. Seul un géomètre-expert est habilité à procéder à la délimitation des parcelles. Il travaille en collaboration avec le comité villageois de gestion du foncier et le corps préfectoral. Toute autre procédure vous fera perdre inutilement de l’argent", a-t-il affirmé, mettant en garde contre la propension des villageois à s’en remettre systématiquement à la gendarmerie en cas de litige.
Au nom des populations de Data, Sévérin Miako s’est félicité des explications fournies aux populations, "car trop de sang a coulé à Data pour des problèmes de terre faute de lecture appropriée de la loi en vigueur", a-t-il ajouté.
Selon le porte-parole des villageois, depuis que la loi sur le foncier rural a été votée en 1998 et révisée récemment, aucun sachant n’est arrivé ici à Data expliquer aux populations la procédure à suivre pour acquérir le titre foncier.
"Aujourd’hui, nous sommes comblés et nous espérons que d’autres personnes viendront pour éclairer d’éventuelles zones d’ombre", a dit M. Miako.
Le député de la sous-préfecture de Divo profite de ses vacances parlementaires pour rencontrer le maximum de populations pour les tenir informées de ce qui se décide pour elles à l’hémicycle.
"Notre mandat n’a pas de sens si nos mandants ne savent même pas ce que nous avons fait tout ce temps. Je préfère sacrifier mes voyages en Europe pour rester à leur contact", a déclaré M. N’Guessan Denis.
(AIP)
gso/kp