L’AUF a organisé, du 16 au 20 mars 2015 à l’Université Alassane Ouattara, un atelier sur le thème : « Professionnalisation des formations supérieures et partenariat Universités-Entreprises ». Cet atelier a été organisé dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI (Appui à la Modernisation et à la Réforme des Universités et Grandes Ecoles de Côte d’Ivoire), issu du Contrat de Désendettement et de Développement de la Coopération Ivoiro-Française.
Le Président de cette Université, le Professeur Lazare POAMÉ, a exprimé, à cette occasion, sa profonde gratitude à la Coopération française, aux dirigeants de l’AUF ainsi qu’aux différents Ministres de l’Enseignement supérieur, notamment Messieurs CISSÉ Ibrahima et Gnamien KONAN.
Nous vous proposons en intégralité son intervention.
Monsieur le Représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique,
Messieurs les Experts de l’AUF,
Monsieur le Vice-Président,
Madame et Messieurs les Doyens des UFR,
Mesdames et Messieurs les Directeurs de Centres,
Messieurs les experts nationaux,
Mesdames et Messieurs les Chefs de services,
Mesdames et Messieurs les Enseignants-Chercheurs,
Chers collaborateurs du personnel administratif et technique,
Chers amis de la presse,
Honorables invités,
Mesdames et Messieurs,
Depuis l’amorce du processus de Boulogne qui préfigurait la généralisation quasi-planétaire du système LMD, les Universités francophones sont entrées dans une nouvelle phase de leur histoire.
Désormais sommées de clarifier leur identité et de redéfinir leur rapport à l’entreprise, les Universités francophones, avec l’appui des organisations internationales telles que l’UNESCO, le CAMES, le DAAD et l’AUF, avec les bailleurs de fonds tels que la Coopération française, la Banque Africaine de Développement et l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine, s’efforcent d’opérer les mutations et césures qu’impose la professionnalisation des offres de formation.
Le thème de l’Atelier de ce jour, lundi 16 mars 2015, organisé dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI (Appui à la Modernisation et à la Réforme des Universités et Grandes Ecoles de Côte d’Ivoire), issu du Contrat de Désendettement et de Développement de la Coopération Ivoiro-Française, est pour ainsi dire paradigmatique pour les Universités en quête de nouveaux paradigmes : « professionnalisation des formations supérieures et partenariat Universités-Entreprises ».
Avec ce thème, qui fera l’objet d’un épluchage pédagogique par les experts venus jusqu’à nous, à l’Université Alassane Ouattara, nous pouvons nous targuer de jouir de l’accompagnement scientifique que l’on est en droit d’attendre de l’AUF.
Nous assistons donc, ce matin, à un accompagnement scientifique de l’UAO dans sa marche vers l’Université entrepreneuriale tout en préservant ce qu’il y a d’impérial dans une Université, à savoir son essence théorétique qui permet de transformer une idée en projet sociétal.
L’accompagnement scientifique de l’AUF au profit de l’UAO a scandé les grands moments de l’histoire de notre Institution.
C’est pourquoi, je voudrais, avec votre permission Mesdames et Messieurs, énumérer, sans être exhaustif, les appuis que l’AUF, mobilisée par le projet AMRUGE-CI pour cette activité, nous a apportés jusqu’à ce jour.
De 2000 à 2012, avant la mise en œuvre du système LMD et avant le changement de nom de notre Institution :
1. Missions d’enseignement financées par l’AUF ;
2. Bourses de mobilité offertes à nos jeunes chercheurs et enseignants-chercheurs qui ont réussi à gravir rapidement les marches des strates académiques ;
3. Sensibilisation et formation à l’usage du logiciel Scolarix ;
4. Formation à la mise en ligne des cours.
De 2012 à ce jour, l’UAO a reçu de l’AUF des appuis multiples qui se présentent comme suit :
1. Câblage d’une salle (de 30 postes) dédiée au Campus Numérique Partenaire ;
2. Formation des bibliothécaires à l’usage d’un logiciel PMB dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI de la Coopération ivoiro-française ;
3. Formation sur la méthode de préparation et de réalisation d’un audit interne ou auto-évaluation (démarche qualité) dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI de la Coopération ivoiro-française ;
4. Formation à l’élaboration d’un plan d’orientation stratégique d’un établissement d’enseignement supérieur dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI de la Coopération ivoiro-française.
Ce à quoi il convient d’ajouter ce précieux Atelier qui nous réunit ce matin.
Mesdames et Messieurs,
Comme vous pouvez le constater, l’AUF a été, est et restera, nous l’espérons tous, notre partenaire privilégié et nous nous réjouissons qu’elle ait été mobilisée par la Coopération ivoiro-française pour la mise en œuvre de l’atelier de ce jour.
Je voudrais, ici, au nom de tous les acteurs de l’Université Alassane Ouattara, exprimer ma profonde gratitude à la Coopération française pour tous ces appuis financiers en faveur de nos Universités. Ma profonde gratitude également aux dirigeants de l’AUF, plus précisément à Messieurs Bernard CERQUIGLINI et Emile TANAWA, respectivement Recteur et Vice-recteur de l’AUF, ainsi qu’aux experts qui ont effectué le déplacement à Bouaké.
Je tiens à remercier tout particulièrement les différents Ministres de l’Enseignement supérieur, notamment Messieurs CISSE Ibrahima et Gnamien KONAN, qui ont su entretenir la flamme de la Coopération féconde et fécondante qui lie les Universités ivoiriennes à la Coopération française et à l’AUF.
Je vous remercie.
Professeur Lazare POAME
Président de l’Université Alassane Ouattara
Le Président de cette Université, le Professeur Lazare POAMÉ, a exprimé, à cette occasion, sa profonde gratitude à la Coopération française, aux dirigeants de l’AUF ainsi qu’aux différents Ministres de l’Enseignement supérieur, notamment Messieurs CISSÉ Ibrahima et Gnamien KONAN.
Nous vous proposons en intégralité son intervention.
Monsieur le Représentant du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique,
Messieurs les Experts de l’AUF,
Monsieur le Vice-Président,
Madame et Messieurs les Doyens des UFR,
Mesdames et Messieurs les Directeurs de Centres,
Messieurs les experts nationaux,
Mesdames et Messieurs les Chefs de services,
Mesdames et Messieurs les Enseignants-Chercheurs,
Chers collaborateurs du personnel administratif et technique,
Chers amis de la presse,
Honorables invités,
Mesdames et Messieurs,
Depuis l’amorce du processus de Boulogne qui préfigurait la généralisation quasi-planétaire du système LMD, les Universités francophones sont entrées dans une nouvelle phase de leur histoire.
Désormais sommées de clarifier leur identité et de redéfinir leur rapport à l’entreprise, les Universités francophones, avec l’appui des organisations internationales telles que l’UNESCO, le CAMES, le DAAD et l’AUF, avec les bailleurs de fonds tels que la Coopération française, la Banque Africaine de Développement et l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine, s’efforcent d’opérer les mutations et césures qu’impose la professionnalisation des offres de formation.
Le thème de l’Atelier de ce jour, lundi 16 mars 2015, organisé dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI (Appui à la Modernisation et à la Réforme des Universités et Grandes Ecoles de Côte d’Ivoire), issu du Contrat de Désendettement et de Développement de la Coopération Ivoiro-Française, est pour ainsi dire paradigmatique pour les Universités en quête de nouveaux paradigmes : « professionnalisation des formations supérieures et partenariat Universités-Entreprises ».
Avec ce thème, qui fera l’objet d’un épluchage pédagogique par les experts venus jusqu’à nous, à l’Université Alassane Ouattara, nous pouvons nous targuer de jouir de l’accompagnement scientifique que l’on est en droit d’attendre de l’AUF.
Nous assistons donc, ce matin, à un accompagnement scientifique de l’UAO dans sa marche vers l’Université entrepreneuriale tout en préservant ce qu’il y a d’impérial dans une Université, à savoir son essence théorétique qui permet de transformer une idée en projet sociétal.
L’accompagnement scientifique de l’AUF au profit de l’UAO a scandé les grands moments de l’histoire de notre Institution.
C’est pourquoi, je voudrais, avec votre permission Mesdames et Messieurs, énumérer, sans être exhaustif, les appuis que l’AUF, mobilisée par le projet AMRUGE-CI pour cette activité, nous a apportés jusqu’à ce jour.
De 2000 à 2012, avant la mise en œuvre du système LMD et avant le changement de nom de notre Institution :
1. Missions d’enseignement financées par l’AUF ;
2. Bourses de mobilité offertes à nos jeunes chercheurs et enseignants-chercheurs qui ont réussi à gravir rapidement les marches des strates académiques ;
3. Sensibilisation et formation à l’usage du logiciel Scolarix ;
4. Formation à la mise en ligne des cours.
De 2012 à ce jour, l’UAO a reçu de l’AUF des appuis multiples qui se présentent comme suit :
1. Câblage d’une salle (de 30 postes) dédiée au Campus Numérique Partenaire ;
2. Formation des bibliothécaires à l’usage d’un logiciel PMB dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI de la Coopération ivoiro-française ;
3. Formation sur la méthode de préparation et de réalisation d’un audit interne ou auto-évaluation (démarche qualité) dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI de la Coopération ivoiro-française ;
4. Formation à l’élaboration d’un plan d’orientation stratégique d’un établissement d’enseignement supérieur dans le cadre de la mise en œuvre du projet AMRUGE-CI de la Coopération ivoiro-française.
Ce à quoi il convient d’ajouter ce précieux Atelier qui nous réunit ce matin.
Mesdames et Messieurs,
Comme vous pouvez le constater, l’AUF a été, est et restera, nous l’espérons tous, notre partenaire privilégié et nous nous réjouissons qu’elle ait été mobilisée par la Coopération ivoiro-française pour la mise en œuvre de l’atelier de ce jour.
Je voudrais, ici, au nom de tous les acteurs de l’Université Alassane Ouattara, exprimer ma profonde gratitude à la Coopération française pour tous ces appuis financiers en faveur de nos Universités. Ma profonde gratitude également aux dirigeants de l’AUF, plus précisément à Messieurs Bernard CERQUIGLINI et Emile TANAWA, respectivement Recteur et Vice-recteur de l’AUF, ainsi qu’aux experts qui ont effectué le déplacement à Bouaké.
Je tiens à remercier tout particulièrement les différents Ministres de l’Enseignement supérieur, notamment Messieurs CISSE Ibrahima et Gnamien KONAN, qui ont su entretenir la flamme de la Coopération féconde et fécondante qui lie les Universités ivoiriennes à la Coopération française et à l’AUF.
Je vous remercie.
Professeur Lazare POAME
Président de l’Université Alassane Ouattara